Lors de l’annonce des résultats de Q3, Léo Apotheker a annoncé que « le Conseil d’Administration d’HP autorisait l’équipe de management à étudier les alternatives stratégiques possibles pour le business PC », y compris la possibilité d’effectuer une scission ou une vente de l’activité.
Pour la CFE-CGC une telle annonce est incompréhensible et irresponsable !
Pourquoi faire une annonce aussi vide mais aux conséquences immédiates aussi cataclysmiques… ?
La conséquence la plus visible et la plus immédiate a été sur le cours de l’action. Même si elles sont moins visibles dans l’immédiat, et quelle que soit l’issue finale de quitter ou non le monde du PC à une échéance de 12 à 18 mois, les conséquences au niveau des salariés et des ventes sont et seront également terribles !
Tous les salariés d’HP ont reçu ces informations comme une véritable douche froide. En France, ce sont près de 500 emplois chez HP - Centre de Compétence France (HPCCF), essentiellement en Isère et 170 chez HP-France (HPF) qui sont directement concernés.
De nombreux autres emplois pourraient également être plus ou moins touchés tant chez HPCCF qui compte 2100 salariés que chez HPF qui en compte 2500.
C’est au travers des instances représentatives du personnel que les représentants CFE-CGC comptent obtenir des réponses aux nombreuses questions qui se posent.
Dès vendredi 19 aout, Didier PASQUINI, Secrétaire du Comité du Groupe HP en France et représentant syndical CFE-CGC, a demandé au PDG d’HP en France, Gérald KARSENTI, d’organiser une réunion extraordinaire du Comité de Groupe.
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