Avec Monacosat, le constructeur cannois de satellites s'était lancé début
2015 dans l'aventure de la "fabrication additive" aluminium pour
l'espace avec un support d'antenne. Depuis, 79 nouvelles pièces 3D en
métal et 350 supports de tubes pour la propulsion chimique en polymère ont été placés en orbite sur différents
satellites. Ce qui fait aujourd'hui de TAS le champion du monde en ce
domaine.
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