Le spectre d’une privatisation totale d’Orange commence à échauffer les esprits au sein de l’opérateur de télécommunications. La CFE-CGC d’Orange et l’Adeas (Association pour la défense de l’épargne et de l’actionnariat salariés), liée au syndicat, ont écrit au premier ministre, Edouard Philippe, jeudi 7 septembre, pour lui faire part de leur préoccupation à propos du désengagement potentiel de l’Etat, qui possède 23 % du capital de l’opérateur.
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