L’annonce, fin juillet, de l’abandon de l’usine d’hydroliennes à
Cherbourg sonne le glas des ambitions dans un domaine qui s’annonçait
pourtant prometteur. Au-delà des réactions politiques, le gouvernement
sous-entend que l’énergie puisée dans des courants marins pourtant
éternels ne serait plus d’actualité.
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