Relance de l’Alliance avec Nissan et Mitsubishi, prêt garanti par l’Etat
(PGE) : l’actualité entourait Renault depuis quelques jours. L’annonce,
le 28 mai, de la suppression de 15 000 emplois dans le monde, dont 4
600 en France, a brutalement corsé l’addition. Au risque de remettre en
cause le dialogue social au sein de la marque au losange. Bruno Aziere,
secrétaire national pour l’Industrie à la Fédération de la Métallurgie
et ancien délégué syndical central CFE-CGC Renault, fait le point.
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