Les patrons achètent toujours des jets. Et
les tensions mondiales stimulent les achats d’armement. Deux tendances
qui permettent à Dassault de traverser honorablement la crise. Mais
Eric Trappier ne peut pas trop se réjouir : porte-parole de
l’aéronautique française (Gifas), il s’inquiète de la survie d’une
filière mise à mal par l’effondrement du trafic aérien. Lire l'article
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