Comme nous l’avions fait voici cinq ans pour son prédécesseur, monsieur François Hollande, nous allons dresser ici un bilan de l’action présidentielle au service de l’avion de combat Dassault Aviation Rafale sur les marchés étrangers. Un quinquennat marqué par des contrats exceptionnels mais aussi par un ou deux plantages sur lesquels l’avionneur de Saint-Cloud ne peut pas être comptablement considéré comme seul responsable. L’Élysée a aussi parfois sa part de responsabilité. Lire l'article
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