Les groupes français Thales et DCNI abattent mardi devant la cour d’appel de Paris une de leurs dernières cartes pour éviter un potentiel procès sur des soupçons de versement de pots-de-vin en marge de la vente de sous-marins à la Malaisie en 2002. La chambre de l’instruction doit se prononcer sur plusieurs requêtes en nullité engagées par les deux entreprises. Lire l'article
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