Aussi suprenant que cela puisse paraître au regard des enjeux sécuritaires de la mer Noire, la force aérienne bulgare n’a pas les moyens d’assurer une couverture radar complète des espaces qu’elle est chargée de surveiller et de protéger. Aussi a-t-elle recours à ceux de l’aviation civile… dont les radars ne couvrent pas non plus la totalité du territoire. Lire l'article
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