"Nous sortons de ce rendez-vous de concertation avec des choses qui avancent mais encore des attentes", a déclaré la présidente de la CFE-CGC, Carole Couvert.
En terme de durée de cotisation, "la réforme Fillon continue son calendrier jusqu'à 2020, donc les règles ne sont pas modifiées jusqu'en 2020", a-t-elle confirmé.
"Au delà, le gouvernement examine deux possibilités, soit continuer sur ce rythme, soit modifier les règles en rajoutant un trimestre tous les trois ans", a-t-elle dit précisant que le gouvernement "penche pour cette solution".
Les deux mécanismes aboutissent à environ 43 ans en 2035.
"L'avantage du trimestre tous les trois ans, c'est que cela donne de la visibilité pour celui qui va partir en retraite", a-t-elle expliqué.
Concernant la prise en compte des années d'études, dont la CFE-CGC fait "un préalable", "le gouvernement nous dit qu'il réfléchit à un dispositif", a souligné Mme Couvert.
Ce dispositif offrirait "la possibilité pour les jeunes de racheter une année d'étude (pour compléter leur durée de cotisation à la retraite, ndlr) avec une aide forfaitaire de 1.000 euros, pendant les cinq premières années du parcours professionnel", a-t-elle expliqué.
Pour la CFE-CGC, "cinq ans c'est trop court" et "il faut au moins (...) étaler la possibilité de racheter (cette année) sur dix ans".
En terme de durée de cotisation, "la réforme Fillon continue son calendrier jusqu'à 2020, donc les règles ne sont pas modifiées jusqu'en 2020", a-t-elle confirmé.
"Au delà, le gouvernement examine deux possibilités, soit continuer sur ce rythme, soit modifier les règles en rajoutant un trimestre tous les trois ans", a-t-elle dit précisant que le gouvernement "penche pour cette solution".
Les deux mécanismes aboutissent à environ 43 ans en 2035.
"L'avantage du trimestre tous les trois ans, c'est que cela donne de la visibilité pour celui qui va partir en retraite", a-t-elle expliqué.
Concernant la prise en compte des années d'études, dont la CFE-CGC fait "un préalable", "le gouvernement nous dit qu'il réfléchit à un dispositif", a souligné Mme Couvert.
Ce dispositif offrirait "la possibilité pour les jeunes de racheter une année d'étude (pour compléter leur durée de cotisation à la retraite, ndlr) avec une aide forfaitaire de 1.000 euros, pendant les cinq premières années du parcours professionnel", a-t-elle expliqué.
Pour la CFE-CGC, "cinq ans c'est trop court" et "il faut au moins (...) étaler la possibilité de racheter (cette année) sur dix ans".
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