Le vaudeville du remplacement de Jean-Bernard Lévy à la tête de Thales a connu un nouveau rebondissement qui, même s’il ne prête pas trop à conséquence, ne grandit pas la gouvernance à la française. Le groupe d’électronique de défense, d’aéronautique et de sécurité, a reporté sine die de son assemblée générale, prévue le 5 février prochain. En cause, la prochaine nomination à la présidence non exécutive d’Henri Proglio, dont la proximité d’avec Dassault menaçait de faire éclater le pacte d’actionnaires qui lie l’avionneur à l’Etat.
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