Il s’agit là d’une promesse de campagne d’Emmanuel Macron : la mise en
place de bonus-malus sur les cotisations chômage patronales pour limiter la
précarité du marché du travail. Les contrats courts coûtent
particulièrement cher à l’Unedic.
Le bonus-malus envisagé pourrait prendre la forme d’un taux de
cotisation patronale variable en fonction du coût que fait supporter
l’employeur à la collectivité ...
« C’est le principe du pollueur payeur », résume Jean-François Foucard,
secrétaire national à la CFE-CGC, le syndicat des cadres, qui est favorable à
un tel système depuis des années.
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