«Ne cassons pas Airbus». C'est par ces mots qu'un syndicaliste tire la
sonnette d'alarme alors que la pression s'amplifie sur les épaules de
Tom Enders et de son numéro deux, le Français Fabrice Brégier. Pris dans
la tourmente de plusieurs enquêtes pour corruption , les deux patrons
du groupe aéronautique pourraient faire les frais d'une opération «mains
propres» déclenchée par le conseil d'administration d'Airbus.
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