La situation à Calais fait au moins quelques heureux : les groupes
privés comme Vinci ou Thales. Construction de murs, drones, sécurité
privée, scanners, biométrie, gaz lacrymogène... : au moins une
quarantaine de contrats ont été passés avec des firmes privées pour
sécuriser la frontière franco-britannique. Les 50 millions d’euros
supplémentaires annoncés par Theresa May et Emmanuel Macron dans le
cadre du sommet britannique du 18 janvier continueront à alimenter ce
business des frontières.
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