Près de dix ans après le suicide d’une de ses cadres, le groupe Thales Microelectronics
a de nouveau été reconnu coupable par la justice. La cour d’appel de
Rennes vient en effet de confirmer « la faute inexcusable de
l’employeur » après le suicide de Michèle Morellec. Le 23 octobre 2009,
cette mère de famille de 45 ans qui travaillait comme responsable d’une
ligne de production sur le site de Châteaubourg (Ille-et-Vilaine),
s’était pendue à son domicile.
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