Serait-ce la sortie d’un long trou d’air dans la thermosphère ? Celui d’un nouveau souffle pour Thales Alenia Space (TAS) détenu à 67 % par le français Thales et à 33 % par l’italien Leonardo ?
En 2019, pour faire face à un sureffectif conjoncturel lié à une baisse
de commandes de satellites, le groupe avait mis en place un plan de
gestion active de l’emploi soldé par la suppression de 452 postes
répartie sur les sites de Toulouse et de Cannes.
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