En résumé, la CFE-CGC a obtenu à l’issue de trois séances de négociation une augmentation de 1,5 % sur l’ensemble des appointements minimaux.
Une clause de revoyure en septembre 2013 figure dans cet accord. Ses conditions d’application sont telles qu’il faudrait une amélioration sensible de la situation économique des entreprises pour espérer une augmentation supplémentaire.
La fédération a estimé qu’il était malgré tout souhaitable de signer cet accord, de façon à éviter une nouvelle « année blanche » après 2010.
Le fait qu’il ait fallu trois réunions montre l’âpreté de la négociation, l’UIMM ayant pendant deux réunions maintenu sa proposition à 1,3 % seulement. Il a fallu user de tous les arguments, y compris l’attractivité de la branche, pour obtenir ce résultat.
Une clause de revoyure en septembre 2013 figure dans cet accord. Ses conditions d’application sont telles qu’il faudrait une amélioration sensible de la situation économique des entreprises pour espérer une augmentation supplémentaire.
La fédération a estimé qu’il était malgré tout souhaitable de signer cet accord, de façon à éviter une nouvelle « année blanche » après 2010.
Le fait qu’il ait fallu trois réunions montre l’âpreté de la négociation, l’UIMM ayant pendant deux réunions maintenu sa proposition à 1,3 % seulement. Il a fallu user de tous les arguments, y compris l’attractivité de la branche, pour obtenir ce résultat.
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