Pour Bernard Valette, président du syndicat aéronautique CFE-CGC, "la volonté du patronat de remettre en cause les 35 heures se traduit par 4 jours de travail supplémentaires. Pratiquement sans compensation. Rien ne justifie un tel effort alors que tous les voyants sont au vert et que l'avionneur doit livrer en moyenne 900 avions par an dans les années à venir."
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