La justice commence à déployer ses grandes oreilles chez Thales. Dans la
plus grande discrétion, la Plateforme nationale des interceptions
judiciaires (PNIJ) entre en phase opérationnelle, après des années de
retard et huit mois de tests sur une quinzaine de sites pilotes. A
partir de lundi, la structure confiée à l’industriel de la défense sera
active dans le Sud-Ouest, avant de s’étendre progressivement à
l’ensemble du territoire, à raison d’une nouvelle zone de défense par
mois jusqu’en avril 2016, selon des informations recueillies par Libération.
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