Le
ministère de la Justice a fait savoir samedi qu'il n'y avait pas de
"discussions en cours" pour un éventuel retour à des prestataires privés
en matière d'écoutes judiciaires, malgré les critiques contre la PNIJ,
la "super plateforme" devant centraliser les interceptions au niveau
national ...
Le
groupe Thales, interrogé par l'AFP, a fait valoir que "la montée du
risque, en particulier terroriste" et "l'arrivée de nouvelles
technologies de communication, qui entraîne une explosion du volume
d'information à traiter" avaient fait évoluer "considérablement" les
besoins auxquels la PNIJ fait face.
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