Le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, a déclaré mercredi qu'il n'était "pas dans une logique de réinternalisation" de la "plateforme nationale des interceptions judiciaires" ou PNIJ, un dispositif opéré par le groupe Thales et critiqué pour ses pannes.
Cette "super plateforme", censée centraliser les interceptions au niveau national, doit passer de 4.000 à 12.000 interceptions simultanées.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire