D'après l'étude d'Aon Hewitt dévoilée mardi, les entreprises installées en France prévoient des augmentations de 2,6% l'an prochain, un taux "extrêmement bas, inférieur aux augmentations moyennes en Europe", observe Vincent Cornet, directeur de l'activité rémunération du cabinet.
Si cette prévision était confirmée, 2015 serait du même acabit que 2014, un peu en dessous des trois années précédentes et surtout loin des niveaux enregistrés avant la crise de 2008 (autour de 3,2%-3,4%). "On est effectivement toujours bien dans un contexte qu'on peut appeler de crise", dit-il.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire