Ce texte respecte l’esprit
de l’accord paraphé
par la CFE-CGC qui, certes, facilite une certaine flexibilité du marché de l’emploi, mais en contrepartie de l’acquisition de droits pour les
salariés et le renforcement du
rôle des IRP à chaque étape de la vie des entreprises.
L'exercice
n’était pas aisé et la CFE-CGC est soulagée de constater le respect des fondamentaux, faute de quoi l’équilibre social en aurait été
fragilisé ! La CFE-CGC est par ailleurs satisfaite de
constater que ses remarques complémentaires ont été entendues lors des
auditions, renforçant ainsi l’accord au profit des salariés (mobilité volontaire sécurisée, CHSCT de coordination plus précis, dispositions sur la complémentaire
santé améliorées par une levée de l'interdiction de la clause de désignation…).
La
réserve la plus importante de la CFE CGC concerne la transcription de l'accord
sur l'entrée d'administrateurs salariés dans les instances de gouvernance. Sans
trahir en rien l'accord,
le gouvernement aurait permis plus de cohérence en rapprochant les modalités de désignations des
dispositifs déjà existants.
Après le
fond, la forme : l’accord doit être au service de l’emploi et cette étape est donc fondamentale !
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