La loi Macron prévoit par voie d’ordonnance de faire évoluer la médecine du travail, en instaurant des dispositions sur les notions d’aptitude et d’inaptitude ainsi que sur l’organisation des services de santé au travail.
La dispersion des textes et des instances dans lesquelles sont traitées ces questions annonce-t-elle une remise en cause, voire une disparition, de la santé au travail ?
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