Alors que l’Etat
et Dassault sont en pleine négociation pour définir le salaire annuel du
probable prochain président de Thales, 140.000 € ou 400.000 €, les salariés
de Thales refusent LA modération salariale que leur impose la nouvelle
direction, et au nom de quoi ?
En réponse à
l’appel « au débrayage » du 19 février »
de l’intersyndicale CFDT, CFE-CGC, CFTC et CGT, environ 5000
salariés, soit près de 20% des effectifs de
Thales (en tenant compte des congés), n’ont pas travaillé
entre 7h30 et 10 h.
Si la cause est bonne c’est de la persévérance, si la
cause est mauvaise c’est de l’obstination !
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