Pour y
parvenir, il est urgent de fixer un calendrier et de définir les priorités. Et
de commencer à travailler.
Pour la
CFE-CGC, les négociations en cours sur les IRP, ou à venir sur l’égalité
professionnelle, sont des composantes d’un accord global.
La
formation, la GPEC, le logement, l’accompagnement dans la mobilité, la
professionnalisation par l’alternance, le contrat de génération sont autant
d’éléments qui apporteront du concret à l’accord.
Pour créer
le climat de confiance indispensable à ce nécessaire travail de fond, il faut
que chacun dépasse les postures et l’attentisme traditionnels.
Il faut en
particulier que le patronat accepte de négocier sur l’association des salariés
-via leurs représentants- à la gouvernance de l’entreprise pour créer les
conditions d’anticipation des restructurations.
Nous devons
également traiter du partage de la richesse créée.
La CFE-CGC
est disponible dès cette semaine.
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