Par principe, les grands actionnaires évitent de laisser filtrer leurs intentions avant une opération capitalistique. C'est le cas quand il s'agit d'acquérir des titres d'une société cotée, pour éviter de faire monter le cours, mais aussi lorsque vient le moment de vendre, parce que le risque d'afflux de papier pousse les autres porteurs à alléger leurs positions. Parfois cela fonctionne. Mais parfois non.
Il semblerait que l'Etat ne soit pas parvenu à garder ses intentions masquées suffisamment longtemps concernant EDF. Mardi, le syndicat CFE-CGC avait déclenché un gros afflux vendeur sur le titre en affirmant que Bercy préparait la vente de 15% du capital de l'énergéticien, dont les pouvoirs publics détiennent 84,49%. Malgré le démenti "formel" de l'entourage de Michel Sapin, le feu a continué à couver. L'incendie a repris ce matin avec les informations de BFM Business selon lesquelles une grande banque française sonde actuellement le marché préalablement à l'opération. Une nouvelle étayée par des salles de marché et même un gérant de KBL Richelieu Finance. Cette fois, pas de démenti formel, mais un refus de commenter la nouvelle du côté de Bercy.
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Il semblerait que l'Etat ne soit pas parvenu à garder ses intentions masquées suffisamment longtemps concernant EDF. Mardi, le syndicat CFE-CGC avait déclenché un gros afflux vendeur sur le titre en affirmant que Bercy préparait la vente de 15% du capital de l'énergéticien, dont les pouvoirs publics détiennent 84,49%. Malgré le démenti "formel" de l'entourage de Michel Sapin, le feu a continué à couver. L'incendie a repris ce matin avec les informations de BFM Business selon lesquelles une grande banque française sonde actuellement le marché préalablement à l'opération. Une nouvelle étayée par des salles de marché et même un gérant de KBL Richelieu Finance. Cette fois, pas de démenti formel, mais un refus de commenter la nouvelle du côté de Bercy.
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