Le délai de trois semaines annoncé hier par Alstom, avant son entrée en négociations exclusives avec l’américain GE, crédibilise la promesse d’Arnaud Montebourg, le ministre de l’Economie, d’un plan C pour sauver l’industriel. Ce dont se félicitent les syndicats. «Cela devrait permettre à l’Etat de développer son plan», se réjouit Didier Lesou, le délégué syndical central CFE-CGC d’Alstom. Mais, il reste prudent: «Nous ne savons pas toutefois s’il va réellement s’y atteler».
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