Ambiance électrique chez Thales. Le départ précipité de Jean-Bernard Lévy pour EDF, vingt-deux mois à peine après son arrivée à la tête du groupe d’électronique et de défense, susciterait la colère chez Dassault. Le groupe n’aurait pas eu son mot à dire dans cette décision, l’Etat l’ayant informé au dernier moment. Pourtant, l’Etat et Dassault Aviation, principaux actionnaires de Thales avec respectivement 27 % et 26 % du capital, sont liés par un pacte les associant à toute décision. Cela concerne notamment le sort du PDG de Thales.
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