Les groupes français Thales et Alstom ont annoncé mardi avoir remporté d'importants contrats de modernisation de la signalisation du réseau ferré au Danemark, pour un montant total de 700 millions d'euros.
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mardi 31 janvier 2012
Dassault va vendre 126 rafales à l'Inde
Le Français a remporté l'appel d'offres pour fournir à l'Inde 126 avions de chasse, signant ainsi son premier succès à l'exportation.
L’Inde a décidé d’acquérir 126 avions de chasse Rafale de l’avionneur français Dassault, qui remporte ainsi à la fois un colossal appel d’offres estimé à 12 milliards de dollars et son premier succès à l’exportation pour cet appareil, a annoncé mardi une source gouvernementale indienne à l’AFP.Lire l'article
L’Inde a décidé d’acquérir 126 avions de chasse Rafale de l’avionneur français Dassault, qui remporte ainsi à la fois un colossal appel d’offres estimé à 12 milliards de dollars et son premier succès à l’exportation pour cet appareil, a annoncé mardi une source gouvernementale indienne à l’AFP.Lire l'article
lundi 30 janvier 2012
François Hollande prévoit un débat national sur la défense
En visitant la base des sous-marins nucléaires porteurs de la bombe, à l'Ile-Longue près de Brest (Finistère), lundi 30 janvier, le candidat socialiste à l'élection présidentielle veut éloigner les critiques selon lesquelles un retour de la gauche au pouvoir signifierait une baisse de l'effort national de défense. "C'est pour François Hollande un acte fort", explique Jean-Yves Le Drian, président de la région Bretagne, en charge des questions de défense pour la campagne. "Il a bien indiqué sa posture : le maintien de l'ambition nationale, qui passe par notre outil de dissuasion." Lire l'article
SAFRAN et THALES rachètent les 20% d'Areva dans Sofradir
Safran et Thales ont conclu aujourd'hui le rachat des 20% d'Areva dans Sofradir, leur filiale commune qui concentre le pôle d'excellence français, de classe mondiale, dans le domaine technologique des détecteurs infrarouges. Grâce à ce rachat, Thales et Safran, qui détenaient déjà chacun 40% du capital de Sofradir, vont porter leurs participations respectives à 50%. Cette montée au capital s'inscrit dans le cadre du partenariat dans l'optronique entre Safran et Thales signé le 20 décembre dernier.
AGIRC - La CFE-CGC ne marchande pas ses valeurs !
Au nom de la CFE-CGC, Bernard Van Craeynest, président de l’AGIRC, renouvellera sa candidature, le 31 janvier 2012, pour la mise en place du nouveau conseil d’administration.
Malgré les tractations de couloir, malgré les petits arrangements entre faux amis pour lui retirer cette responsabilité, la CFE-CGC reste convaincue que l’enjeu de la pérennité de l’AGIRC est d’assurer l’équilibre financier de cette institution plus que soixantenaire, pour préserver la retraite de l’encadrement.
L’accord du 18 mars 2011, signé par la CFDT, la CFTC et FO, ne répond pas à cet objectif. Bien au contraire :
- Il pénalise les techniciens, agents de maîtrise, ingénieurs et cadres en baissant la revalorisation des pensions AGIRC et en réduisant de 7,4 milliards d’euros les droits des futurs retraités !
- Il dégrade le pouvoir d’achat et spolie les familles nombreuses par le plafonnement des majorations familiales !
Et l’on voudrait que la CFE-CGC renonce à sa candidature parce qu’elle n’accepte pas ces iniquités ? Parce qu’elle refuse de renier ses valeurs au service de l’encadrement ? La confiance des salariés et des retraités dans leurs porte-parole sous-entend le courage de dire non. La CFE-CGC a et aura toujours cette volonté !
Par la candidature de Bernard Van Craeynest à la présidence de l’AGIRC, la CFE-CGC réaffirme qu’il est possible de donner des perspectives à la retraite complémentaire des cadres. Au-delà, c’est le principe même de la répartition qu’il s’agit de préserver, dans le cadre d’une économie dynamique qui place l’emploi, et tout particulièrement l’emploi de l’encadrement, au cœur du financement de notre protection sociale.
L’esprit de solidarité ne peut être utilisé à sens unique.
Oui l’encadrement est solidaire de l’ensemble des salariés et des retraités. Non, cette solidarité ne peut être conditionnée à la disparition de ceux qui sont la force vive de cette dynamique de croissance : les personnels d’encadrement !
Malgré les tractations de couloir, malgré les petits arrangements entre faux amis pour lui retirer cette responsabilité, la CFE-CGC reste convaincue que l’enjeu de la pérennité de l’AGIRC est d’assurer l’équilibre financier de cette institution plus que soixantenaire, pour préserver la retraite de l’encadrement.
L’accord du 18 mars 2011, signé par la CFDT, la CFTC et FO, ne répond pas à cet objectif. Bien au contraire :
- Il pénalise les techniciens, agents de maîtrise, ingénieurs et cadres en baissant la revalorisation des pensions AGIRC et en réduisant de 7,4 milliards d’euros les droits des futurs retraités !
- Il dégrade le pouvoir d’achat et spolie les familles nombreuses par le plafonnement des majorations familiales !
Et l’on voudrait que la CFE-CGC renonce à sa candidature parce qu’elle n’accepte pas ces iniquités ? Parce qu’elle refuse de renier ses valeurs au service de l’encadrement ? La confiance des salariés et des retraités dans leurs porte-parole sous-entend le courage de dire non. La CFE-CGC a et aura toujours cette volonté !
Par la candidature de Bernard Van Craeynest à la présidence de l’AGIRC, la CFE-CGC réaffirme qu’il est possible de donner des perspectives à la retraite complémentaire des cadres. Au-delà, c’est le principe même de la répartition qu’il s’agit de préserver, dans le cadre d’une économie dynamique qui place l’emploi, et tout particulièrement l’emploi de l’encadrement, au cœur du financement de notre protection sociale.
L’esprit de solidarité ne peut être utilisé à sens unique.
Oui l’encadrement est solidaire de l’ensemble des salariés et des retraités. Non, cette solidarité ne peut être conditionnée à la disparition de ceux qui sont la force vive de cette dynamique de croissance : les personnels d’encadrement !
dimanche 29 janvier 2012
NAO 1ère proposition : ça commence mal !
Après la déconvenue de 2011, la Direction persiste et signe !
Alors que l'inflation s'élève à 2,5 % en 2011 selon l’INSEE (et nettement plus dans le ressenti quotidien), 48 % des cadres français estiment que leur pouvoir d'achat s'est dégradé. A TCS, avec la baisse importante de la rémunération variable, ce taux doit être largement dépassé.
Face au malaise, les augmentations collectives ont repris du galon : 56 % des entreprises en ont distribué en 2011. Pas à TCS.
Que nous propose-t-on pour 2012 ? Une petite AG pour les mensuels, loin de prendre en compte l’inflation, et rien sur le sujet pour les cadres… Ca commence mal !
Analysons les chiffres maintenant ! Pour toutes les catégories, c’est 2,6 % de la masse salariale principalement ou complètement individualisé. Concrètement qu’est ce que cela signifie pour la majorité d’entre nous ? Une fois que l’on aura préempté du « magot » la masse pour les promotions et la mobilité, ainsi que les fortes augmentations des « compétences » que l’on veut fidéliser, le commun des mortels devra se contenter de moins de 2 % en moyenne.
Est-ce acceptable, surtout après une année 2011 qui a vu une baisse de rémunération chez nombre d’entre nous ? NON, surtout si l’on se souvient des discours récents du management de l’entreprise vantant le parcours et les résultats de l’année écoulée… et sachant que Dassault-Aviation propose pour l’instant 3,3 % à ses I&C. Pourtant, à notre connaissance, les Rafales ne se vendent pas comme des petits pains… Moralité : mieux vaut être actionnaire qu’actionné.
Face à cette proposition minimaliste de la Direction, la CFE-CGC réitère des revendications salariales qui permettront la reconnaissance de l’ensemble des salariés :
• Une AG pour tous qui prenne en compte l’inflation officielle : 2,5 %
• Des AI pour reconnaître la compétence et l’apport aux résultats de l’entreprise : 2,5 %
• La réintégration de la rémunération variable dans le salaire pour éviter les désillusions, comme l’an passé.
Alors que l'inflation s'élève à 2,5 % en 2011 selon l’INSEE (et nettement plus dans le ressenti quotidien), 48 % des cadres français estiment que leur pouvoir d'achat s'est dégradé. A TCS, avec la baisse importante de la rémunération variable, ce taux doit être largement dépassé.
Face au malaise, les augmentations collectives ont repris du galon : 56 % des entreprises en ont distribué en 2011. Pas à TCS.
Que nous propose-t-on pour 2012 ? Une petite AG pour les mensuels, loin de prendre en compte l’inflation, et rien sur le sujet pour les cadres… Ca commence mal !
Analysons les chiffres maintenant ! Pour toutes les catégories, c’est 2,6 % de la masse salariale principalement ou complètement individualisé. Concrètement qu’est ce que cela signifie pour la majorité d’entre nous ? Une fois que l’on aura préempté du « magot » la masse pour les promotions et la mobilité, ainsi que les fortes augmentations des « compétences » que l’on veut fidéliser, le commun des mortels devra se contenter de moins de 2 % en moyenne.
Est-ce acceptable, surtout après une année 2011 qui a vu une baisse de rémunération chez nombre d’entre nous ? NON, surtout si l’on se souvient des discours récents du management de l’entreprise vantant le parcours et les résultats de l’année écoulée… et sachant que Dassault-Aviation propose pour l’instant 3,3 % à ses I&C. Pourtant, à notre connaissance, les Rafales ne se vendent pas comme des petits pains… Moralité : mieux vaut être actionnaire qu’actionné.
Face à cette proposition minimaliste de la Direction, la CFE-CGC réitère des revendications salariales qui permettront la reconnaissance de l’ensemble des salariés :
• Une AG pour tous qui prenne en compte l’inflation officielle : 2,5 %
• Des AI pour reconnaître la compétence et l’apport aux résultats de l’entreprise : 2,5 %
• La réintégration de la rémunération variable dans le salaire pour éviter les désillusions, comme l’an passé.
vendredi 27 janvier 2012
Gabriel Artero : "J'ai l'industrie à coeur, je suis entrepreneur !"
Que la ré-industrialisation de la France devienne grande cause nationale ne peut que me rassurer. A une condition cependant, qu'elle ne se résumât pas à un seul argument de campagne électorale où les mots, la forme, l'emporterait sur les maux, le fond.
Une politique industrielle robuste suppose de la puissance publique constance et détermination dans le suivi et l'application des décisions, des schémas de développement, des engagements de dépenses. En rêvant un peu, elle pourrait faire l'objet d'un consensus général, traversant échéances et alternances. Rien n'est moins sûr. Lire l'article
jeudi 26 janvier 2012
METALLURGIE - MINIMA INGENIEURS & CADRES 2012 : + 2,3 %
C'est Noëlle !
A dater du 1er février 2012, Noëlle FICHET est nommée Directrice du Développement Social de Thales Communications & Security. Elle succède à Claire SILVA qui va rejoindre Thales Services comme DRH.
Au cours du mois de février, Claire SILVA conservera ses fonctions actuelles au sein de TCS afin de finaliser les négociations engagées et notamment les Négociations Annuelles Obligatoires.
Au cours du mois de février, Claire SILVA conservera ses fonctions actuelles au sein de TCS afin de finaliser les négociations engagées et notamment les Négociations Annuelles Obligatoires.
LAMBERSART - LA PAGAILLE
C’est le mot qui convient pour décrire le stationnement des voitures dans le parc du Pont Royal en ce début d’année !
Des voitures le long de l’allée précédemment rétrécie par des plots bétonnés, d’autres dans l’herbe, sans compter le parking de nos voisins de GDF que nous squattons allégrement (ils sont cools eux, pas comme ceux d’en face !) : nous n’avons jamais atteint ce niveau d’encombrement. Pourtant ce n’est pas faute d’avoir alerté de manière répétée, et même avant l’installation dans les locaux.
Jusqu’à présent, la seule réponse concrète de la Direction fut un PDE prônant le bus ou le vélo. C’est bien, cela a pu engendrer quelques vocations et la nature en profite. Mais compte-tenu de la faiblesse des transports en commun dans le secteur et de l’éloignement du lieu de résidence de nombreux salariés, l’efficacité de cette incitation ne peut être que très limitée face au problème de débordement du parking. Il faudrait au moins obtenir une navette rapide entre le(s) parc(s) d’activités et la gare, centre névralgique des transports en commun lillois pour espérer dynamiser le système.
Il y a d’autres possibilités d’améliorer la situation.
D’abord supprimer les plots de part et d’autre de l’entrée du « U » (avec quelques bandes blanches pour rappeler aux piétons que le trottoir est de l’autre côté de l’allée), cela fait une dizaine de places de récupérées,
Puis prolonger le parking principal en gagnant 25 mètres sur la zone non utilisée de l’autre côté de la clôture (propriété de LMCU), cela fait une vingtaine de places supplémentaires.
Donc voilà une trentaine de places qu’il est potentiellement possible de gagner. Cela a-t-il été tenté ? Pas que l’on sache !
Enfin, une autre piste consiste à réduire le besoin en places en utilisant le télétravail pour les activités qui le permettent. Bien encadré, c’est un système efficace et écologique : moins de km parcourus, moins de temps perdu, et moins de places de parking. Il fait d’ailleurs l’objet d’une expérimentation très satisfaisante chez nos collègues de Thales Alenia Space qui va le pérenniser. A TCS, le sujet est tabou. Mais le Groupe semble enfin s’engager sur cette voie. Alors, chez nous avant la fin de l’année ?
Nous demandons donc instamment à la Direction de s’atteler à ce problème de plus en plus aigu de saturation du parking, car c’est aussi cela, la qualité de vie au travail !
Des voitures le long de l’allée précédemment rétrécie par des plots bétonnés, d’autres dans l’herbe, sans compter le parking de nos voisins de GDF que nous squattons allégrement (ils sont cools eux, pas comme ceux d’en face !) : nous n’avons jamais atteint ce niveau d’encombrement. Pourtant ce n’est pas faute d’avoir alerté de manière répétée, et même avant l’installation dans les locaux.
Jusqu’à présent, la seule réponse concrète de la Direction fut un PDE prônant le bus ou le vélo. C’est bien, cela a pu engendrer quelques vocations et la nature en profite. Mais compte-tenu de la faiblesse des transports en commun dans le secteur et de l’éloignement du lieu de résidence de nombreux salariés, l’efficacité de cette incitation ne peut être que très limitée face au problème de débordement du parking. Il faudrait au moins obtenir une navette rapide entre le(s) parc(s) d’activités et la gare, centre névralgique des transports en commun lillois pour espérer dynamiser le système.
Il y a d’autres possibilités d’améliorer la situation.
D’abord supprimer les plots de part et d’autre de l’entrée du « U » (avec quelques bandes blanches pour rappeler aux piétons que le trottoir est de l’autre côté de l’allée), cela fait une dizaine de places de récupérées,
Puis prolonger le parking principal en gagnant 25 mètres sur la zone non utilisée de l’autre côté de la clôture (propriété de LMCU), cela fait une vingtaine de places supplémentaires.
Donc voilà une trentaine de places qu’il est potentiellement possible de gagner. Cela a-t-il été tenté ? Pas que l’on sache !
Enfin, une autre piste consiste à réduire le besoin en places en utilisant le télétravail pour les activités qui le permettent. Bien encadré, c’est un système efficace et écologique : moins de km parcourus, moins de temps perdu, et moins de places de parking. Il fait d’ailleurs l’objet d’une expérimentation très satisfaisante chez nos collègues de Thales Alenia Space qui va le pérenniser. A TCS, le sujet est tabou. Mais le Groupe semble enfin s’engager sur cette voie. Alors, chez nous avant la fin de l’année ?
Nous demandons donc instamment à la Direction de s’atteler à ce problème de plus en plus aigu de saturation du parking, car c’est aussi cela, la qualité de vie au travail !
mercredi 25 janvier 2012
Avant les NAO salariales, Pascale SOURISSE présente le bilan 2011 et les prévisions 2012-2015 de TCS
Lors du CCE du 24 janvier, Pascale SOURISSE - PDG de TCS - a présenté le bilan 2011 et les prévisions 2012 - 2015 de TCS.
L'année 2011 a encore été un très bon cru : le budget des Prises de Commandes a été dépassé de 16%, le Chiffre d'Affaires a été tenu, tout comme le Cash Flow Opérationnel, le Résultat d'Exploitation fait + 6% par rapport au budget et + 160 M€ par rapport à 2010 ! Quant au Carnet de Commandes, il représente environ 22 mois d'activité.
Les prévisions de la direction pour la période 2012 - 2015 sont plutôt bonnes. Après un léger tassement en 2012 et 2013, les Prises de Commandes devraient à nouveau progresser en 2014 et 2015. Le Chiffre d'Affaires devrait croître sur toute la période et dépasser les 2 Md€ en 2015. Quant au Résultat d'Exploitation, il pourrait progresser de près de 20% dès 2012 !
Avec de tels résultats et prévisions, la CFE-CGC attend maintenant avec impatience les propositions de la direction - et donc de Pascale SOURISSE - pour la politique salariale 2012 ... 1ère réunion de NAO sur les salaires ce jeudi 26 janvier.
L'année 2011 a encore été un très bon cru : le budget des Prises de Commandes a été dépassé de 16%, le Chiffre d'Affaires a été tenu, tout comme le Cash Flow Opérationnel, le Résultat d'Exploitation fait + 6% par rapport au budget et + 160 M€ par rapport à 2010 ! Quant au Carnet de Commandes, il représente environ 22 mois d'activité.
Les prévisions de la direction pour la période 2012 - 2015 sont plutôt bonnes. Après un léger tassement en 2012 et 2013, les Prises de Commandes devraient à nouveau progresser en 2014 et 2015. Le Chiffre d'Affaires devrait croître sur toute la période et dépasser les 2 Md€ en 2015. Quant au Résultat d'Exploitation, il pourrait progresser de près de 20% dès 2012 !
Avec de tels résultats et prévisions, la CFE-CGC attend maintenant avec impatience les propositions de la direction - et donc de Pascale SOURISSE - pour la politique salariale 2012 ... 1ère réunion de NAO sur les salaires ce jeudi 26 janvier.
mardi 24 janvier 2012
LAVAL IMMOBILIER - LE MANQUE DE TRANSPARENCE DE LA DIRECTION
AU VU DE LA DEFINITION DU FUTUR SITE AINSI QUE DU MANQUE TOTAL DE TRANSPARENCE ET DE COMMUNICATION DE LA DIRECTION, DES QUESTIONS FORTES SE POSENT :
- Quel est l’avenir de la Supply Chain sur le futur site de Laval ?
- Quel est l’avenir de la ligne COM ?
- Quelles sont les diversifications promises pour le site et sa pérennité ?
- En bref, quel sera le périmètre des activités du site à moyen terme ?
- Serons-nous condamnés à être mono activité, avec ce que cela représente comme incertitudes sur l’avenir ?
LA CFE-CGC ATTEND DE LA DIRECTION PLUS DE CLARTE, DE TRANSPARENCE ET DES ENGAGEMENTS FORTS ET CONCRETS.
Lire le tract
- Quel est l’avenir de la Supply Chain sur le futur site de Laval ?
- Quel est l’avenir de la ligne COM ?
- Quelles sont les diversifications promises pour le site et sa pérennité ?
- En bref, quel sera le périmètre des activités du site à moyen terme ?
- Serons-nous condamnés à être mono activité, avec ce que cela représente comme incertitudes sur l’avenir ?
LA CFE-CGC ATTEND DE LA DIRECTION PLUS DE CLARTE, DE TRANSPARENCE ET DES ENGAGEMENTS FORTS ET CONCRETS.
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COLOMBES - Colonies de vacances 2012 - Pour les salariés, le pluralisme syndical paye !
Grâce à une négociation judicieuse avec nos prestataires et en particulier avec le CIE, la CFE-CGC et les membres de la commission enfance ont construit pour vous et vos enfants un nouveau modèle d’offre qui se caractérise par :
Une offre élargie : En juillet, vous aurez le choix entre 48 destinations contre 8 en 2011 !
Des tarifs plus attractifs : baisse moyenne de 19% pour tous et toutes les destinations.
Les tarifs de toutes les destinations (CIE) sont en baisse par rapport au barème 2011.
Et cerise sur le gâteau, grâce aux conditions tarifaires extrêmement compétitives du CIE, la commission a pu, avec un budget général inchangé, non seulement baisser les tarifs des colonies mais également augmenter le budget des jouets de Noël et des bons de rentrée scolaire de +10% !
Lire le tract
Ce travail dans la concertation, réalisé par la commission enfance au bénéfice de tous les salariés de Colombes, est aussi faisable pour d’autres activités sociales & culturelles du CE.
Le monopole et l’immobilisme sont toujours préjudiciable à l’usager final.
Pour les combattre, la CFE-CGC a besoin de votre soutien !
Une offre élargie : En juillet, vous aurez le choix entre 48 destinations contre 8 en 2011 !
Des tarifs plus attractifs : baisse moyenne de 19% pour tous et toutes les destinations.
Les tarifs de toutes les destinations (CIE) sont en baisse par rapport au barème 2011.
Et cerise sur le gâteau, grâce aux conditions tarifaires extrêmement compétitives du CIE, la commission a pu, avec un budget général inchangé, non seulement baisser les tarifs des colonies mais également augmenter le budget des jouets de Noël et des bons de rentrée scolaire de +10% !
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Ce travail dans la concertation, réalisé par la commission enfance au bénéfice de tous les salariés de Colombes, est aussi faisable pour d’autres activités sociales & culturelles du CE.
Le monopole et l’immobilisme sont toujours préjudiciable à l’usager final.
Pour les combattre, la CFE-CGC a besoin de votre soutien !
Thales Services: actions de blocage contre un projet de cession
Des salariés de Thales Services, filiale du groupe de défense, ont bloqué mardi l'accès aux sites de Toulouse (Haute-Garonne) et Vélizy (Yvelines) pour demander le retrait d'un projet de cession, a-t-on appris de source syndicale. Lire l'article
vendredi 20 janvier 2012
Manifestation de salariés de Thales Services
Plus de 200 salariés de Thales Services, filiale du groupe de défense, ont manifesté vendredi devant le siège de l'entreprise à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) pour demander le retrait d'un projet de cession, a-t-on appris de sources syndicales.
"Il y avait 200 à 300 salariés qui ont manifesté durant deux heures devant le siège", ... lire l'article
"Il y avait 200 à 300 salariés qui ont manifesté durant deux heures devant le siège", ... lire l'article
mercredi 18 janvier 2012
Sommet social - Van Craeynest : "Il ne fallait pas attendre des miracles"
Pendant plus de quatre heures, Nicolas Sarkozy a rencontré les organisations syndicales et patronales. Le président de la CFE-CGC, Bernard Van Craeynest, revient sur ce sommet social pour leJDD.fr. Et le syndicaliste se dit "partagé", notant que "l'arrière-plan politique était très présent" à moins de 100 jours de la présidentielle. Lire l'article
mardi 17 janvier 2012
Salaires 2011 : La grande supercherie de la Direction !
Les Ingénieurs et Cadres sont les grands perdants de la politique salariale de TCS depuis 10 ans et 2011 aura amplifié le phénomène avec la baisse des rémunérations variables.
Voir le fichier
La CFE-CGC demande un plan de rattrapage des salaires en 2012 afin de compenser la stagnation constatée en 2011. Nos revendications sont les suivantes :
- Une AG de 2,5% pour tous (y.c. les I&C !), avec un talon significatif pour les mensuels,
- Une AI de 2,5%,
- La réintégration du variable dans le fixe et l’arrêt de la baisse des rémunérations globales,
- Une véritable politique de promotions pour toutes les catégories afin de donner de réelles opportunités d’évolution de carrière pour tous.
LA CFE-CGC DENONCE L’EROSION DES SALAIRES, APPELLE TOUS LES SALARIES A LA MOBILISATION ET RENOUVELLE SON APPEL A NE PAS VALIDER LES EAA
Voir le fichier
La CFE-CGC demande un plan de rattrapage des salaires en 2012 afin de compenser la stagnation constatée en 2011. Nos revendications sont les suivantes :
- Une AG de 2,5% pour tous (y.c. les I&C !), avec un talon significatif pour les mensuels,
- Une AI de 2,5%,
- La réintégration du variable dans le fixe et l’arrêt de la baisse des rémunérations globales,
- Une véritable politique de promotions pour toutes les catégories afin de donner de réelles opportunités d’évolution de carrière pour tous.
LA CFE-CGC DENONCE L’EROSION DES SALAIRES, APPELLE TOUS LES SALARIES A LA MOBILISATION ET RENOUVELLE SON APPEL A NE PAS VALIDER LES EAA
Communiqué de presse - Les salariés de THALES Services (Business & Solutions) demandent à l'Etat actionnaire d’intervenir pour faire cesser le projet de cession
Les salariés de THALES Services, filiale du Groupe THALES, exigent que ceux qui nous gouvernent respectent leurs engagements :
- Monsieur le Ministre François BAROIN : "Là où l'Etat est actionnaire, là où directement ou indirectement, de près ou de loin, il a son mot à dire l'emploi ne sera pas une variable d'ajustement"
- Les vœux du Président de la République Nicolas Sarkozy ‘Je ne renoncerai jamais. Si des gens aiment leur métier, aiment leur entreprise et veulent essayer de la sauver, on doit les aider"
Si nous avons eu une écoute compréhensive d'Elus locaux tant de la majorité que de l'opposition, les vrais décideurs, l'Etat et la Direction du Groupe restent sourds à tous nos arguments.
Vendredi 20 janvier de 12 h à 14 h, les Salariés manifestent devant le siège du Groupe THALES à Neuilly sur Seine (rue de Villiers). Par cette ultime tentative tranquille, ils veulent encore une fois rappeler aux décideurs leurs propos, devoirs et obligations.
Faute d'un début de dialogue, l'Intersyndicale appellera dès la semaine prochaine à des mouvements plus durs pouvant avoir un impact fort en dehors des sites THALES Services.
L'Intersyndicale tiendra une conférence de presse devant le siège du Groupe THALES pour faire le point sur le mouvement, ses enjeux et ses suites.
- Monsieur le Ministre François BAROIN : "Là où l'Etat est actionnaire, là où directement ou indirectement, de près ou de loin, il a son mot à dire l'emploi ne sera pas une variable d'ajustement"
- Les vœux du Président de la République Nicolas Sarkozy ‘Je ne renoncerai jamais. Si des gens aiment leur métier, aiment leur entreprise et veulent essayer de la sauver, on doit les aider"
Si nous avons eu une écoute compréhensive d'Elus locaux tant de la majorité que de l'opposition, les vrais décideurs, l'Etat et la Direction du Groupe restent sourds à tous nos arguments.
Vendredi 20 janvier de 12 h à 14 h, les Salariés manifestent devant le siège du Groupe THALES à Neuilly sur Seine (rue de Villiers). Par cette ultime tentative tranquille, ils veulent encore une fois rappeler aux décideurs leurs propos, devoirs et obligations.
Faute d'un début de dialogue, l'Intersyndicale appellera dès la semaine prochaine à des mouvements plus durs pouvant avoir un impact fort en dehors des sites THALES Services.
L'Intersyndicale tiendra une conférence de presse devant le siège du Groupe THALES pour faire le point sur le mouvement, ses enjeux et ses suites.
lundi 16 janvier 2012
TAV - Le 18/01 à Meudon-La-Forêt (92) : mobilisation des salariés de THALES contre la délocalisation à Singapour
Les syndicats CGT, CFE-CGC, appellent les salariés de THALES à se mobiliser contre la machine à délocaliser à Singapour !
Les élus du CCE sont intervenus le 19 décembre en CCE en présence de 70 salariés venus les soutenir, pour présenter leurs arguments contre la déresponsabilisation sociale que constitue la poursuite des délocalisations de nos équipements à Singapour.
Lire l'article
Les élus du CCE sont intervenus le 19 décembre en CCE en présence de 70 salariés venus les soutenir, pour présenter leurs arguments contre la déresponsabilisation sociale que constitue la poursuite des délocalisations de nos équipements à Singapour.
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dimanche 15 janvier 2012
NOVALIS Prévoyance - Information sur les prises en charge 2012
En complément des remboursements que votre institution de prévoyance assure dans le cadre de votre contrat Frais de santé, NOVALIS Prévoyance prend également en charge certains soins spécifiques ou coûteux que l'Assurance maladie ne couvre pas. Ces prestations, dites extra-contractuelles, se nomment "NOVALIS Plus".
Récapitulatif des actes pris en charge par NOVALIS Prévoyance au titre de l'année 2012 : Voir le fichier
Récapitulatif des actes pris en charge par NOVALIS Prévoyance au titre de l'année 2012 : Voir le fichier
vendredi 13 janvier 2012
Manifestation en faveur de Thales Services/BUS du 20 janvier
Ainsi, le vendredi 20 janvier de 12h00 à 14h00, ils manifesteront leur détermination devant le siège du Groupe. Venez nombreux pour les soutenir !
Un lien sur leurs vœux 2012 : voir la vidéo
jeudi 12 janvier 2012
Emploi - Halte au marchandage !
Le gouvernement et le MEDEF proposent la possibilité de négocier des accords prévoyant de baisser ou d’augmenter le temps de travail en fonction des commandes de l’entreprise et en contrepartie de la sauvegarde de l’emploi en se dispensant de l’acquiescement de chaque salarié !
Les accords d’entreprises prévoyant le maintien de l’emploi en échange de contreparties de la part des salariés (baisse des salaires, augmentation ou baisse du temps de travail) ne sont pas une spécialité allemande, ni une nouveauté en France (des accords Poclain en 1993 aux accords Hertz, HP ou Peugeot Motory en 2007).
Le panel de la flexibilité est déjà immense, de l’annualisation du temps de travail au ...chômage partiel. Pour envisager une neutralisation du droit du salarié à préserver sa rémunération et son temps de travail au nom de l’emploi, la CFE-CGC met plusieurs conditions qui devront être légalement prévues :
• que l’ouverture d’une telle négociation ne soit possible que si les partenaires sociaux locaux, à la majorité absolue, estiment le chômage partiel inadapté à la situation économique de l’entreprise;
• que ces accords ne soient établis que pour une durée déterminée avec une clause de suivi au minimum tous les six mois ;
• que l’employeur s’engage pendant la période d’application à :
- ne pas recourir à des contrats de travail précaires
- ne pas externaliser les activités
- ne procéder à aucun licenciement ;
• que l’accord compétitivité-emploi ne soit mis en place dans les entreprises que moyennant une majorité absolue d’engagement des organisations représentatives (plus de 50 % des voix dans l’entreprise). Dans les branches, pendant la période transitoire, la majorité absolue des signataires devra être requise. À la fin de la période transitoire, la mise en place d’un tel accord dans la branche nécessitera la majorité absolue également.
Assurer la pérennité de nos entreprises et défendre l’emploi ont toujours fait partie des valeurs de la CFE-CGC mais pas dans le cadre d’un marché de dupes. L’emploi ne se marchande pas contre le droit et les salariés ne sont pas une variable d’ajustement !
Les accords d’entreprises prévoyant le maintien de l’emploi en échange de contreparties de la part des salariés (baisse des salaires, augmentation ou baisse du temps de travail) ne sont pas une spécialité allemande, ni une nouveauté en France (des accords Poclain en 1993 aux accords Hertz, HP ou Peugeot Motory en 2007).
Le panel de la flexibilité est déjà immense, de l’annualisation du temps de travail au ...chômage partiel. Pour envisager une neutralisation du droit du salarié à préserver sa rémunération et son temps de travail au nom de l’emploi, la CFE-CGC met plusieurs conditions qui devront être légalement prévues :
• que l’ouverture d’une telle négociation ne soit possible que si les partenaires sociaux locaux, à la majorité absolue, estiment le chômage partiel inadapté à la situation économique de l’entreprise;
• que ces accords ne soient établis que pour une durée déterminée avec une clause de suivi au minimum tous les six mois ;
• que l’employeur s’engage pendant la période d’application à :
- ne pas recourir à des contrats de travail précaires
- ne pas externaliser les activités
- ne procéder à aucun licenciement ;
• que l’accord compétitivité-emploi ne soit mis en place dans les entreprises que moyennant une majorité absolue d’engagement des organisations représentatives (plus de 50 % des voix dans l’entreprise). Dans les branches, pendant la période transitoire, la majorité absolue des signataires devra être requise. À la fin de la période transitoire, la mise en place d’un tel accord dans la branche nécessitera la majorité absolue également.
Assurer la pérennité de nos entreprises et défendre l’emploi ont toujours fait partie des valeurs de la CFE-CGC mais pas dans le cadre d’un marché de dupes. L’emploi ne se marchande pas contre le droit et les salariés ne sont pas une variable d’ajustement !
mercredi 11 janvier 2012
DEMARRAGE DES NAO A TCS - LES INGENIEURS ET CADRES ONT PERDU DU POUVOIR D'ACHAT EN 2011 !
Les négociations annuelles obligatoires ont démarré le mardi 10 janvier par le bilan de la politique salariale 2011. Pour le périmètre ex-TCF, l'augmentation moyenne constatée a été de 2,71 % : 3,11 % pour les mensuels et 2,64 % pour les Ingénieurs & Cadres (I&C) hors rémunération variable. Mais compte tenu de la baisse de la rémunération variable 2010 versée en 2011 (elle est passée de 10,9 % du salaire fixe à 10,1 % en 2011), la politique salariale des I&C ex-TCF n'a été en fait que de 1,84 % bien loin du 2,7 % moyen.
Les prix à la consommation ayant augmenté de 2,5 % sur un an, les I&C ont donc perdu du pouvoir d'achat en 2011 : - 0,6 % !!!
Calendrier des prochaines réunions : les 13, 25 et 31 janvier.
Les prix à la consommation ayant augmenté de 2,5 % sur un an, les I&C ont donc perdu du pouvoir d'achat en 2011 : - 0,6 % !!!
Calendrier des prochaines réunions : les 13, 25 et 31 janvier.
LAMBERSART - Les temps modernes
En effet, que voyons-nous au CSL depuis quelques temps ? Des salariés qui souffrent, pris dans l’engrenage de la machine infernale à produire des Systèmes : délais et coûts ne tenant pas compte de la difficulté technique, donc effectif insuffisant, surcharge écrasante, fatigue intense et chronique, et parfois rupture : vie privée en déliquescence, santé laminée …
Comment peut-on régler la machine pour la rendre moins infernale ? Qui est aux manettes ? L’organisation faisant bien les choses, elle a séparé ceux qui gèrent l’humain, et dont un des rôles serait d’éviter le gâchis, et ceux qui ont pour objectifs premiers les coûts et les délais (vous savez, ces objectifs dont dépendent l’augmentation et la rémunération variable). Alors, ce n’est pas simple pour arriver à une solution viable ! Et en attendant, qui continue à subir ? On est loin du « manager, c’est prévoir ».
Dans ce contexte, une solution : frapper au dessus de la mêlée. C’est ce que nous avons fait en alertant la DRH Société. Bilan : décision de plusieurs recrutements (les postes sont ouverts) et lancement de prestations de service en attendant ces arrivées. Il vaut mieux tard que jamais !
Il faut maintenant surveiller que les mesures soient efficaces et que la machine ralentisse effectivement. Le résultat tangible et pérenne n’est pas encore acquis.
Et pour prévenir de nouveaux emballements, chacun d’entre nous doit jouer son rôle : ne pas hésiter à dire NON avant d’avoir atteint la limite raisonnable, et s’aider de la règle applicable : 10 heures max par jour, c’est déjà beaucoup. Vous n’êtes pas responsables des engagements pris par d’autres, donc n’acceptez pas d’être sacrifiés !
Alors, 2011 : les temps modernes ; 2012 : une bonne et heureuse année ?
C’est ce que vous souhaite la section CFE-CGC du CSL. Et surtout, n’oubliez pas, à partir de maintenant :
Halte aux cadences infernales !
lundi 9 janvier 2012
NAO 2012 - L’action, c’est maintenant !
LE CADRAGE GROUPE : RIEN DE NEUF !
A l’issue de 2 réunions que l’on peut résumer à un monologue de la direction, le siège a finalisé sa note de cadrage pour les unités, une copie (presque) conforme à celle de 2011 et qui reporte l’essentiel de la négociation dans les unités.
En réponse aux revendications de la CFE-CGC issues de votre mobilisation de 2011, la direction n’a rien proposé, jugez-en :
- AG pour tous :
Pour les I&C, la direction propose une AI garantie uniquement pour les salariés dont le salaire est « en dessous du marché »
Chez TCS, cela concerne moins de 0,8% de la population des I&C, donc rien n’est garanti pour les 99,2% restant, une vraie provocation !
- Réintégration de la rémunération variable (RV) dans la part fixe :
Aucune proposition de la direction qui reste dans des schémas de rémunération totalement dépassés !
LES NEGOS CHEZ TCS :
Les 2 premières réunions de négociation sont prévues les 10 et 13 janvier. A cette occasion, vos élus CFE-CGC défendront à nouveau la plate-forme de revendication CFE-CGC.
Nos priorités :
- La défense du pouvoir d’achat qui passe par une AG pour tous
- La transparence dans la politique de rémunération, qui passe par la communication de l’évaluation du salarié et de son positionnement marché au moment de l’EAA (Entretien Annuel d’Activité),
- L’arrêt de l’érosion de la rémunération globale des trop nombreux salariés victimes des baisses de rémunération variable ou du 13ième mois majoré.
L’ACTION : TOUT DE SUITE !
Dans la dynamique de l’intersyndicale NAO 2012, la CFE-CGC appelle dès maintenant tous les salariés de TCS à différentes actions concrètes afin de maintenir la pression pour que leurs revendications soient bien entendues et prises en compte.
Dès cette semaine, la CFE-CGC appelle chaque salarié, au moment de son EAA :
- A demander, à l’issue de l’entretien, la communication de son évaluation et de son positionnement salaire par rapport au marché (segment, rémunérations inférieure et supérieure définissant le segment)
- A ne pas valider l’EAA dans l’outil e-people tant que la direction n’aura pas proposé une politique salariale satisfaisante pour 2012 et clarifié la méthode de calcul de l’augmentation de chaque salarié en fonction des trois dimensions de son évaluation et de son positionnement marché
Qu’arrivera-t-il si vous ne validez pas les EAA ? Pour vous RIEN en mentionnant que c’est en accord avec le mot d’ordre de la CFE-CGC dans le cadre des NAO, mais pour la direction c’est l’indicateur qualité du % d’EAA validés qui sera mauvais et grâce à vous il deviendra un indicateur du mécontentement des salariés !
Notre mobilisation à tous est essentielle pour obtenir une politique salariale 2012 juste et à la hauteur des résultats de TCS. Avec vos élus CFE-CGC entrez dans l’action pour les NAO 2012 !
A l’issue de 2 réunions que l’on peut résumer à un monologue de la direction, le siège a finalisé sa note de cadrage pour les unités, une copie (presque) conforme à celle de 2011 et qui reporte l’essentiel de la négociation dans les unités.
En réponse aux revendications de la CFE-CGC issues de votre mobilisation de 2011, la direction n’a rien proposé, jugez-en :
- AG pour tous :
Pour les I&C, la direction propose une AI garantie uniquement pour les salariés dont le salaire est « en dessous du marché »
Chez TCS, cela concerne moins de 0,8% de la population des I&C, donc rien n’est garanti pour les 99,2% restant, une vraie provocation !
- Réintégration de la rémunération variable (RV) dans la part fixe :
Aucune proposition de la direction qui reste dans des schémas de rémunération totalement dépassés !
LES NEGOS CHEZ TCS :
Les 2 premières réunions de négociation sont prévues les 10 et 13 janvier. A cette occasion, vos élus CFE-CGC défendront à nouveau la plate-forme de revendication CFE-CGC.
Nos priorités :
- La défense du pouvoir d’achat qui passe par une AG pour tous
- La transparence dans la politique de rémunération, qui passe par la communication de l’évaluation du salarié et de son positionnement marché au moment de l’EAA (Entretien Annuel d’Activité),
- L’arrêt de l’érosion de la rémunération globale des trop nombreux salariés victimes des baisses de rémunération variable ou du 13ième mois majoré.
L’ACTION : TOUT DE SUITE !
Dans la dynamique de l’intersyndicale NAO 2012, la CFE-CGC appelle dès maintenant tous les salariés de TCS à différentes actions concrètes afin de maintenir la pression pour que leurs revendications soient bien entendues et prises en compte.
Dès cette semaine, la CFE-CGC appelle chaque salarié, au moment de son EAA :
- A demander, à l’issue de l’entretien, la communication de son évaluation et de son positionnement salaire par rapport au marché (segment, rémunérations inférieure et supérieure définissant le segment)
- A ne pas valider l’EAA dans l’outil e-people tant que la direction n’aura pas proposé une politique salariale satisfaisante pour 2012 et clarifié la méthode de calcul de l’augmentation de chaque salarié en fonction des trois dimensions de son évaluation et de son positionnement marché
Qu’arrivera-t-il si vous ne validez pas les EAA ? Pour vous RIEN en mentionnant que c’est en accord avec le mot d’ordre de la CFE-CGC dans le cadre des NAO, mais pour la direction c’est l’indicateur qualité du % d’EAA validés qui sera mauvais et grâce à vous il deviendra un indicateur du mécontentement des salariés !
Notre mobilisation à tous est essentielle pour obtenir une politique salariale 2012 juste et à la hauteur des résultats de TCS. Avec vos élus CFE-CGC entrez dans l’action pour les NAO 2012 !
jeudi 5 janvier 2012
LAMBERSART - Les bonnes résolutions de la direction pour l’année 2012
En cette période de vœux, voici les bonnes résolutions que la CFE-CGC souhaite voir prendre par la direction :
Les postes à responsabilité à Lambersart tu ouvriras
L’arrivée de nouvelles activités au CSL tu défendras
Le cap des 200 salariés TCS en 2012 tu dépasseras
Les problèmes de surcharge et de temps de travail enfin tu traiteras
Aux problèmes récurrents de stationnement une solution tu trouveras
Un bon environnement de travail à tous tu assureras
Le pouvoir d’achat de tous les salariés tu maintiendras
Les efforts et les bons résultats tu récompenseras
La rémunération variable au salaire de base tu intégreras
Les postes à responsabilité à Lambersart tu ouvriras
L’arrivée de nouvelles activités au CSL tu défendras
Le cap des 200 salariés TCS en 2012 tu dépasseras
Les problèmes de surcharge et de temps de travail enfin tu traiteras
Aux problèmes récurrents de stationnement une solution tu trouveras
Un bon environnement de travail à tous tu assureras
Le pouvoir d’achat de tous les salariés tu maintiendras
Les efforts et les bons résultats tu récompenseras
La rémunération variable au salaire de base tu intégreras
mercredi 4 janvier 2012
TVA sociale - Comment transformer une bonne idée en impôt impopulaire ?
Oui, la CFE-CGC revendique depuis longtemps déjà un élargissement de l’assiette de financement de la protection sociale.
La vraie TVA sociale - ou emploi, ou anti-délocalisation - que la CFE-CGC appelle Cotisation sociale sur la consommation, devrait répondre à ce besoin à deux conditions incontournables :
- La baisse des charges sociales doit conduire à une baisse identique du prix de vente hors taxes des produits, de façon à ne pas pénaliser le pouvoir d’achat des actifs et des retraités.
- La hausse de la TVA doit être affectée exclusivement au financement de la protection sociale et non à l’ajustement des déficits budgétaires aux fins de séduire les agences de notation. On ne sauvera pas le AAA de la France en bradant la protection sociale des Français !
Le projet présenté actuellement est détourné de ces deux enjeux prioritaires. Il cible une amélioration de la compétitivité des entreprises, alors que ce n’est qu’un des aspects du problème ! En effet le coût du travail horaire en France est comparable à la moyenne européenne et la productivité individuelle est largement supérieure à celle de nos voisins.
La CFE-CGC ne veut pas d’une TVA-sanction mais revendique une véritable cotisation sociale destinée à garantir une protection sociale de bon niveau et à maintenir le pouvoir d’achat afin de favoriser la consommation créatrice d’emplois.
Ce dossier est avant tout technique, fiscal, économique, social. Il mérite d’être conduit de manière scientifique et pratique pour trouver de vraies solutions. Il ne peut souffrir de quelconques manœuvres politiciennes !
La vraie TVA sociale - ou emploi, ou anti-délocalisation - que la CFE-CGC appelle Cotisation sociale sur la consommation, devrait répondre à ce besoin à deux conditions incontournables :
- La baisse des charges sociales doit conduire à une baisse identique du prix de vente hors taxes des produits, de façon à ne pas pénaliser le pouvoir d’achat des actifs et des retraités.
- La hausse de la TVA doit être affectée exclusivement au financement de la protection sociale et non à l’ajustement des déficits budgétaires aux fins de séduire les agences de notation. On ne sauvera pas le AAA de la France en bradant la protection sociale des Français !
Le projet présenté actuellement est détourné de ces deux enjeux prioritaires. Il cible une amélioration de la compétitivité des entreprises, alors que ce n’est qu’un des aspects du problème ! En effet le coût du travail horaire en France est comparable à la moyenne européenne et la productivité individuelle est largement supérieure à celle de nos voisins.
La CFE-CGC ne veut pas d’une TVA-sanction mais revendique une véritable cotisation sociale destinée à garantir une protection sociale de bon niveau et à maintenir le pouvoir d’achat afin de favoriser la consommation créatrice d’emplois.
Ce dossier est avant tout technique, fiscal, économique, social. Il mérite d’être conduit de manière scientifique et pratique pour trouver de vraies solutions. Il ne peut souffrir de quelconques manœuvres politiciennes !
mardi 3 janvier 2012
Agence française de développement - Le français enterré !
L’Agence française de développement (AFD), établissement public agissant pour le compte de l’État, émet un appel à projets pour une conférence, le 14 juin à Paris. Elle exige de la part des soumissionnaires français des réponses exclusivement en anglais !
Une compromission de plus de la part de nos élites dirigeantes qui, unanimes, veulent enterrer la langue française, malgré les directives de M. Guéant à l’égard des immigrés !
La CFE-CGC s’insurge contre cette mode déstabilisante de l’« english only », contre-productive et affaiblissante. Elle demande que la pratique des langues soit considérée comme un élément essentiel des conditions de travail, tant des usages contestables s’imposent insidieusement dans tous les rouages de l’entreprise. Lire le communiqué de presse
Une compromission de plus de la part de nos élites dirigeantes qui, unanimes, veulent enterrer la langue française, malgré les directives de M. Guéant à l’égard des immigrés !
La CFE-CGC s’insurge contre cette mode déstabilisante de l’« english only », contre-productive et affaiblissante. Elle demande que la pratique des langues soit considérée comme un élément essentiel des conditions de travail, tant des usages contestables s’imposent insidieusement dans tous les rouages de l’entreprise. Lire le communiqué de presse
Des députés s'inquiètent de la montée de Thales au capital de DCNS
Patricia Adam et Bernard Cazeneuve, députés du Finistère et de la Manche, mais aussi vice-présidente et secrétaire de la commission de la Défense de l'Assemblée nationale, ont fait part de leur inquiétude suite à l'annonce d'un accord en vue d'une prise de participation de Thales dans Nexter (entre 15 et 30%) et la montée de l'électronicien dans le capital de DCNS (de 25 à 35%). Pour les deux parlementaires socialistes, ces opérations « relativisent un peu plus la place de l'Etat dans le secteur stratégique de l'armement. (Elles) engage(nt) l'avenir industriel du pays et celui de milliers d'emplois. Une mauvaise restructuration du secteur pourrait gravement contraindre la capacité de l'Etat à équiper les armées dans le plein exercice de sa souveraineté ». Lire l'article
lundi 2 janvier 2012
Vœux de Pascale Sourisse pour l'année 2012
Les salariés de TCS ont reçu ce matin un message les invitant à visionner les voeux de Pascale Sourisse pour 2012. A cette occasion, elle a rappelé le très bon bilan 2011 de TCS et a félicité tous les salariés pour l'excellent travail effectué ! Cela fait toujours plaisir un tel "feed-back" positif ... mais pour la CFE-CGC, il faudra que cela se traduise également par une politique salariale motivante lors des toutes prochaines négociations annuelles obligatoires sur les salaires.
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