mercredi 29 février 2012
Dassault Aviation : chiffre d'affaires 2011 en baisse de 21 %
Dassault Aviation a publié un chiffre d'affaires 2011 en baisse de 21 %,
conformément à ses prévisions, à 3,3 milliards d'euros. L'avionneur a été
victime des turbulences du marché des avions d'affaires et de l'atonie de
l'activité militaire. Le quatrième trimestre marque une amélioration, puisque la
baisse sur un an a été ramenée à 4 %. Dassault vient de remporter une victoire
significative en Inde puisque New Delhi a sélectionné le Rafale à l'issue d'un
appel d'offres portant sur la construction de 126 avions de combat. La
conclusion du contrat va demander encore quelques mois. Associé à Thales,
l'avionneur a également remporté un marché de 1,5 milliard d'euros pour
la modernisation des Mirage 2000 indiens.
Nexter discute alliances en Europe
En France, Nexter discute de la fusion de sa division de munitions avec TDA,
celle de Thales, pour donner naissance à un ensemble au chiffre d'affaires de
quelque 250 millions d'euros. En échange, Thales prendrait une participation de
25% dans Nexter, dont l'Etat français est actuellement l'unique actionnaire.
"Nous sommes raisonnablement orientés vers une conclusion à l'été, a dit
Philippe Burtin. Le processus se développe sans difficulté." Lire l'article
vendredi 24 février 2012
Un actionnariat salarié pour tous !
L’actionnariat
salarié vous permet de participer à la gouvernance de l’entreprise et d’assumer
une responsabilité sociétale.
A
travers le développement de l’actionnariat salarié, l’objectif de la liste CFE-CGC est de :
- veiller à ce que les décisions stratégiques assurent la prospérité et la pérennité de THALES dans le respect de l’environnement et de ses responsabilités sociales
- rapprocher l’entreprise et ses salariés par un dialogue constructif pour concilier performance économique et développement de ses collaborateurs
- protéger THALES des prédateurs et des mésalliances
mercredi 22 février 2012
LAMBERSART - AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD !
Le CSL
est de plus en plus serré. C’est un signe positif, celui de notre développement.
Cependant, plusieurs activités auront besoin de place supplémentaire d’ici peu,
et sont coincées : impossible de pousser les cloisons sans déloger les
voisins.
La direction de TCS se veut prudente sur le
sujet. Elle affirme vouloir continuer à développer le CSL, mais attend de voir
une charge supplémentaire pérenne avant de décider l’accroissement des
surfaces. Nous le comprenons très bien.
Mais
cette charge n’est-elle pas déjà visible ?
Dans quelques mois, TCS quittera Colombes
pour tenter d’entrer dans le site de Cristal. Or chacun sait que malgré ce nom
étincelant, cela sera douloureux. Même avec un chausse-pied, la nouvelle
chaussure est trop petite pour accueillir le pied du mammouth parisien :
salariés et résultats en pâtiront !
Vous l’avez compris : il faut couper et greffer ailleurs.
C’est aussi l’occasion de donner un coup d’arrêt à l’hypercentralisation de
l’entreprise. Moins de découpage en tranches fines des activités confiées est
un souhait des salariés du CSL.
Pour accueillir certains de ces greffons, le CSL doit s’étendre, et cela devient
urgent : la préparation de transferts d’activités, ça prend du
temps ; le choix, la négociation et l’aménagement d’un local aussi. Six
mois, ça n’est pas de trop !
C’est maintenant qu’il faut prévoir l’extension du CSL !
Les salariés s’interrogent sur la capacité du
CSL à accueillir leur activité de demain. Ils
attendent un signe tangible de la direction. Espérons que tout ne se fera
pas dans la précipitation, par la faute d’une décision tardive.
La CFE-CGC sur votre téléphone mobile
La CFE-CGC s’adapte
donc à l’évolution des usages. Depuis quelques jours, elle possède son site
mobile. En vous connectant, à partir de votre smartphone sur www.cfecgc.org, vous accédez rapidement à nos
actualités, nos fiches repères, nos événements, nos vidéos, nos réseaux
sociaux,….
Contrairement aux
« applications, le site mobile est accessible par tout smartphone, quel que soit son
type son système d'exploitation ou ses spécificités techniques…
vendredi 17 février 2012
Le 17e baromètre stress de la CFE-CGC révèle une note de stress jamais atteinte jusqu’à présent, de 6.5 sur 10
Cette édition du baromètre permet également d’analyser la relation entre le niveau de stress et ses facteurs. Parmi les causes, outre le suivi des facteurs traditionnels (charge de travail, temps d’exécution reconnaissance,...) la CFE-CGC, se penche sur l’influence des NTIC, l’usage d’une langue étrangère en entreprise, l’ impact des progiciels de gestion sur les conditions de travail…. Lire les résultats
EVOLUTION PREVISIONNELLE DES EFFECTIFS TCS EN 2012 : LA CROISSANCE, MAIS PAS POUR TOUT LE MONDE !
Après une baisse constatée de près de 2 % des effectifs de TCS en 2011, la direction a présenté ses prévisions pour 2012 lors du CCE du 14 février.
Au 31 décembre 2012, notre société devrait comporter 6832 salariés actifs, soit 223 de plus qu'au 31 décembre 2011 (+ 3,4 %).
Mais cette hausse sera essentiellement concentrée sur nos 2 plus gros établissements de région parisienne : Colombes (+ 153 hors effet Massy, + 202 au total) et Vélizy (+ 34 hors effet Massy, + 267 au total).
Trois autres établissements verront leur effectif augmenté, mais de manière moins importante : Cholet (+ 17), Lambersart (+ 14) et Laval (+ 5).
Quant à Brétigny et à Brive, la direction prévoit pour eux une stabilité aussi parfaite qu'inquiétante.
La CFE-CGC regrette le manque de visibilité et de perspectives pour ces 2 sites, ainsi que la concentration encore accentuée de nos effectifs en région parisienne. Décidément le plan Lotus est bel et bien terminé ! Quant au dimensionnement de CRISTAL, il nous pose de plus en plus question ... alors que la direction continue, elle, à avancer droit dans le mur !
Au 31 décembre 2012, notre société devrait comporter 6832 salariés actifs, soit 223 de plus qu'au 31 décembre 2011 (+ 3,4 %).
Mais cette hausse sera essentiellement concentrée sur nos 2 plus gros établissements de région parisienne : Colombes (+ 153 hors effet Massy, + 202 au total) et Vélizy (+ 34 hors effet Massy, + 267 au total).
Trois autres établissements verront leur effectif augmenté, mais de manière moins importante : Cholet (+ 17), Lambersart (+ 14) et Laval (+ 5).
Quant à Brétigny et à Brive, la direction prévoit pour eux une stabilité aussi parfaite qu'inquiétante.
La CFE-CGC regrette le manque de visibilité et de perspectives pour ces 2 sites, ainsi que la concentration encore accentuée de nos effectifs en région parisienne. Décidément le plan Lotus est bel et bien terminé ! Quant au dimensionnement de CRISTAL, il nous pose de plus en plus question ... alors que la direction continue, elle, à avancer droit dans le mur !
jeudi 16 février 2012
Elections 2012 du Conseil de Surveillance du FCPE Actionnariat Salarié THALES
Porteur de parts, vous pourrez voter du 17 février au 7 mars 2012 par internet à l’adresse suivante :
www.votes.voxaly.com/thalesfcpe.
Si vous êtes concernés, vous recevrez vos codes de connexion par courrier postal à partir du 16 février.
Vous aurez alors le choix entre 4 listes.
Votez pour la liste 3 !
La liste 3 est la liste présentée par la CFE-CGC, et la seule liste qui soutient, depuis la privatisation de 1997, un actionnariat salarié pour tous.
www.votes.voxaly.com/thalesfcpe.
Si vous êtes concernés, vous recevrez vos codes de connexion par courrier postal à partir du 16 février.
Vous aurez alors le choix entre 4 listes.
Votez pour la liste 3 !
La liste 3 est la liste présentée par la CFE-CGC, et la seule liste qui soutient, depuis la privatisation de 1997, un actionnariat salarié pour tous.
mercredi 15 février 2012
NAO : Manifestation à Vélizy le jeudi 16 février
Les organisations syndicales CFE-CGC, CFDT, CGT et CFTC des sociétés du Groupe THALES implantées sur la zone d'emploi de Vélizy-Meudon (78 et 92) qui sont :
- Thales Communications & Security
- Thales Services
- Thales Global Services
- Thales Avionics
- Thales Electron Devices
appelent à une manifestation le JEUDI 16 FEVRIER 2012 à 13h30.
Le lieu de rassemblement est prévu devant le bâtiment Magellan, 22 rue Grange Dame Rose à Vélizy.
Les raisons de cette action sont doubles, elles se situent :
- en pleine NAO sur les salaires, et les propositions faites par les différentes sociétés ne sont pas à la hauteur des revendications exprimées,
- au moment des décisions affichées par Thales de vendre une partie de l'activité de Thales Services et de délocaliser la production de calculateurs de Thales Avionics pour les Airbus à Singapour.
- Thales Communications & Security
- Thales Services
- Thales Global Services
- Thales Avionics
- Thales Electron Devices
appelent à une manifestation le JEUDI 16 FEVRIER 2012 à 13h30.
Le lieu de rassemblement est prévu devant le bâtiment Magellan, 22 rue Grange Dame Rose à Vélizy.
Les raisons de cette action sont doubles, elles se situent :
- en pleine NAO sur les salaires, et les propositions faites par les différentes sociétés ne sont pas à la hauteur des revendications exprimées,
- au moment des décisions affichées par Thales de vendre une partie de l'activité de Thales Services et de délocaliser la production de calculateurs de Thales Avionics pour les Airbus à Singapour.
Près de la moitié des cadres ne sont pas satisfaits de leur rémunération
PARIS (AFP) - Près de la moitié des cadres ne sont pas satisfaits de leur rémunération eu égard à leur charge de travail et à leur niveau d'implication, et quatre sur dix signalent que les pratiques managériales se sont dégradées avec la crise, indique un sondage publié mardi.Lire l'article
mardi 14 février 2012
Le DGA veut accélérer les fusions après la présidentielle
La consolidation du secteur français de la défense n'en est qu'à ses débuts et le gouvernement issu des urnes en mai devra relancer le processus le plus vite possible, a estimé mardi Laurent Collet-Billon, le délégué général pour l'armement (DGA). Lire l'article
NAO 2012 - Des avancées… Mais ce n’est pas suffisant !
Quelques avancées de la Direction…
A l’occasion de la dernière réunion NAO du 9 février, les élus CFE-CGC ont constaté dans la nouvelle proposition de la Direction quelques avancées allant dans le bon sens :
- L’enveloppe globale de 3% hors égalité F/H (équivalente à 2,7% hors promos & mobilité) permet en moyenne le maintien du pouvoir d’achat et celui des cotisations retraites complémentaires, mais il y aura quand même de nombreux déçus.
- Garantie d’un salaire minimum au moins égal au mini conventionnel métallurgie +5%
C’est la première année que la CFE-CGC obtient cette mesure qui va permettre pour environ 200 salariés proches des minima une revalorisation pouvant atteindre 5% de leur salaire.
La satisfaction de cette revendication de la CFE-CGC par la Direction va dans le sens du maintien de l’ascenseur social qui est son cheval de bataille depuis de nombreuses années.
- L’augmentation du talon pour les mensuels à 47€ (y compris les mensuels 5.2 et 5.3)
Bien que cette dernière mesure puisse apparaître comme une avancée, les élus CFE-CGC veilleront à ce qu’elle ne soit pas un cadeau à somme nulle car elle serait mise en œuvre à enveloppe budgétaire constante, c'est-à-dire au détriment de l’AI des mensuels.
Mais ce n’est pas suffisant, il y a encore de réels efforts à faire !
Ce que nous n’avons pas encore obtenu de la Direction :
- Une AG pour les I&C
La Direction déclare vouloir responsabiliser les managers dans la mise en œuvre d’une politique salariale basée principalement sur le mérite. Néanmoins, elle nous a affirmé lors des négociations que la DRH sera le garde fou pour vérifier que tout salarié ayant rempli ses objectifs ne se voit pas attribuer une augmentation non significative.
Cette promesse a minima ne nous satisfait pas et nous demandons à la Direction de corriger sa copie et de remplacer les promesses par des engagements chiffrés écrits comme les années précédentes !
- Aucune mesure de réintégration, même partielle, de la rémunération variable dans le fixe.
La CFE-CGC déplore la position de blocage de la Direction sur cette revendication qui est pour elle prioritaire et qui serait l’une des conditions nécessaires à son accord.
- La remise en place, comme les années précédentes, de budgets spécifiques pour les promotions/mobilités et minima en complément de l'enveloppe globale de 3% pour les AI et AG.
La CFE-CGC dans l’intersyndicale
La CFE-CGC s’inscrit tout naturellement dans l’intersyndicale comme force d’action et de proposition dans le respect de ses valeurs et de tous les salariés.
A l’occasion de la dernière réunion NAO du 9 février, les élus CFE-CGC ont constaté dans la nouvelle proposition de la Direction quelques avancées allant dans le bon sens :
- L’enveloppe globale de 3% hors égalité F/H (équivalente à 2,7% hors promos & mobilité) permet en moyenne le maintien du pouvoir d’achat et celui des cotisations retraites complémentaires, mais il y aura quand même de nombreux déçus.
- Garantie d’un salaire minimum au moins égal au mini conventionnel métallurgie +5%
C’est la première année que la CFE-CGC obtient cette mesure qui va permettre pour environ 200 salariés proches des minima une revalorisation pouvant atteindre 5% de leur salaire.
La satisfaction de cette revendication de la CFE-CGC par la Direction va dans le sens du maintien de l’ascenseur social qui est son cheval de bataille depuis de nombreuses années.
- L’augmentation du talon pour les mensuels à 47€ (y compris les mensuels 5.2 et 5.3)
Bien que cette dernière mesure puisse apparaître comme une avancée, les élus CFE-CGC veilleront à ce qu’elle ne soit pas un cadeau à somme nulle car elle serait mise en œuvre à enveloppe budgétaire constante, c'est-à-dire au détriment de l’AI des mensuels.
Mais ce n’est pas suffisant, il y a encore de réels efforts à faire !
Ce que nous n’avons pas encore obtenu de la Direction :
- Une AG pour les I&C
La Direction déclare vouloir responsabiliser les managers dans la mise en œuvre d’une politique salariale basée principalement sur le mérite. Néanmoins, elle nous a affirmé lors des négociations que la DRH sera le garde fou pour vérifier que tout salarié ayant rempli ses objectifs ne se voit pas attribuer une augmentation non significative.
Cette promesse a minima ne nous satisfait pas et nous demandons à la Direction de corriger sa copie et de remplacer les promesses par des engagements chiffrés écrits comme les années précédentes !
- Aucune mesure de réintégration, même partielle, de la rémunération variable dans le fixe.
La CFE-CGC déplore la position de blocage de la Direction sur cette revendication qui est pour elle prioritaire et qui serait l’une des conditions nécessaires à son accord.
- La remise en place, comme les années précédentes, de budgets spécifiques pour les promotions/mobilités et minima en complément de l'enveloppe globale de 3% pour les AI et AG.
La CFE-CGC dans l’intersyndicale
La CFE-CGC s’inscrit tout naturellement dans l’intersyndicale comme force d’action et de proposition dans le respect de ses valeurs et de tous les salariés.
Soutenez la CFE-CGC dans ses revendications pour une politique salariale valorisant réellement les plans de carrière des salariés de TCS, rejoignez-nous !
lundi 13 février 2012
ADIEU LE PARITARISME !
Adieu le paritarisme… Adieu la convention d’assurance-chômage qui régit les règles de l’indemnisation des demandeurs d’emploi édictées par les partenaires sociaux (employeurs et salariés) sur leurs cotisations.
Suite aux annonces de Nicolas Sarkozy, ce week-end, la CFE-CGC s’insurge. En effet, il ne peut être envisagé de confier à une consultation électorale le soin de protéger les salariés de la conjoncture économique, des règles imposées par l’Europe ou des conséquences de la mondialisation !
Pourquoi le salarié serait-il tenu responsable de la multiplication des plans de licenciements, des fermetures d’entreprises ou de l’explosion des ruptures conventionnelles ?
Pourquoi les partenaires sociaux s’évertuent-ils à négocier des outils de gestion de crise comme le contrat de sécurisation professionnelle ou le chômage partiel ?
La CFE-CGC ne peut cautionner une telle démarche, contraire à l’esprit de la loi Larcher de 2007, qui propose aux partenaires sociaux de s’emparer des sujets cruciaux relatifs au social ; ce qu’ils ont fait avec réactivité depuis la crise de 2008 et sans faire culpabiliser les chômeurs !
Décidemment un référendum ne résoudrait rien…
Suite aux annonces de Nicolas Sarkozy, ce week-end, la CFE-CGC s’insurge. En effet, il ne peut être envisagé de confier à une consultation électorale le soin de protéger les salariés de la conjoncture économique, des règles imposées par l’Europe ou des conséquences de la mondialisation !
Pourquoi le salarié serait-il tenu responsable de la multiplication des plans de licenciements, des fermetures d’entreprises ou de l’explosion des ruptures conventionnelles ?
Pourquoi les partenaires sociaux s’évertuent-ils à négocier des outils de gestion de crise comme le contrat de sécurisation professionnelle ou le chômage partiel ?
La CFE-CGC ne peut cautionner une telle démarche, contraire à l’esprit de la loi Larcher de 2007, qui propose aux partenaires sociaux de s’emparer des sujets cruciaux relatifs au social ; ce qu’ils ont fait avec réactivité depuis la crise de 2008 et sans faire culpabiliser les chômeurs !
Décidemment un référendum ne résoudrait rien…
vendredi 10 février 2012
Cloud computing : les deux projets rivaux connaîtront bientôt leur sort
La France va devoir bientôt choisir entre les deux projets de cloud computing concurrents. Alors qu'Orange et Thales y travaillent depuis plusieurs mois, Dassault Systèmes a de son côté quitté le consortium et s'est associé à SFR pour proposer une alternative. La décision de l'État devrait survenir dans moins d'un mois.
Lire l'article
Lire l'article
jeudi 9 février 2012
SALAIRES CHEZ TCS : LA FIN DE L'ASCENSEUR SOCIAL ?
Certaines organisations syndicales, qui revendiquent aujourd’hui des augmentations générales à montant fixe en € plutôt qu’en %, ont peut-être, à leur corps défendant, favorisé la politique salariale de la Direction de la dernière décennie.
Il s’agit là d’une dérive extrêmement dangereuse car il est évident qu’une politique salariale d’augmentation basée sur des montants fixes en € accélérerait rapidement le tassement des salaires vers le bas !
En privilégiant des revendications essentiellement destinées aux mensuels et en négligeant de fait les ingénieurs et cadres, ces organisations syndicales font à terme le jeu de la Direction. Celle-ci a d’ailleurs bien compris, depuis de nombreuses années, que pour « acheter » la paix sociale à moindre coût, il valait mieux faire un effort vers la population mensuelle qui pèse 15% de la masse salariale plutôt que vers celle des ingénieurs et cadres qui pèse 85% ! (une population traditionnellement bien plus docile !)
La CFE-CGC dénonce depuis de nombreuses années cette dérive inacceptable.
Lire l'analyse et les propositions CFE-CGC
LA CFE-CGC DENONCE UNE POLITIQUE «SOURNOISE» D’EROSION DES SALAIRES ET DEFEND UNE VERITABLE POLITIQUE SALARIALE A LA HAUTEUR DES EFFORTS DE CHACUN !
Il s’agit là d’une dérive extrêmement dangereuse car il est évident qu’une politique salariale d’augmentation basée sur des montants fixes en € accélérerait rapidement le tassement des salaires vers le bas !
En privilégiant des revendications essentiellement destinées aux mensuels et en négligeant de fait les ingénieurs et cadres, ces organisations syndicales font à terme le jeu de la Direction. Celle-ci a d’ailleurs bien compris, depuis de nombreuses années, que pour « acheter » la paix sociale à moindre coût, il valait mieux faire un effort vers la population mensuelle qui pèse 15% de la masse salariale plutôt que vers celle des ingénieurs et cadres qui pèse 85% ! (une population traditionnellement bien plus docile !)
La CFE-CGC dénonce depuis de nombreuses années cette dérive inacceptable.
Lire l'analyse et les propositions CFE-CGC
LA CFE-CGC DENONCE UNE POLITIQUE «SOURNOISE» D’EROSION DES SALAIRES ET DEFEND UNE VERITABLE POLITIQUE SALARIALE A LA HAUTEUR DES EFFORTS DE CHACUN !
Compétitivité-emploi, oui ... Contre-emploi, non !
Le MEDEF en rêve… Tandis que l’État laisse deux mois aux partenaires sociaux pour négocier les règles de la compétitivité-emploi, soudain, nos députés s’emparent du sujet, semblant découvrir que le remède miracle à une perte de compétitivité de nos entreprises passerait par la case contrat de travail !
La CFE-CGC n’est pas opposée à une véritable réflexion de fond à ce propos face aux menaces sur le marché de l’emploi. Elle ne peut toutefois envisager une flexibilisation erratique du temps de travail des salariés sans une contrepartie réelle des entreprises maîtresses de leur activité économique.
La CFE-CGC s’est engagée à participer à la négociation interprofessionnelle qui doit s’ouvrir au MEDEF le 17 février prochain. Elle demandera des contreparties fortes au patronat et, notamment, l’engagement dans les entreprises concernées de ne pas recourir à des contrats de travail précaires, de stopper l’externalisation et de ne procéder à aucun licenciement.
Il va de soi que de tels accords compétitivité-emploi ne pourront être mis en place qu’avec la caution de la majorité absolue des organisations syndicales consultées !
Assez d’agitation préélectorale ! Ce qui mine notre compétitivité, c’est le manque de confiance entre les acteurs de notre économie. Tel le baccalauréat, ce n’est pas en bachotant la veille de l’examen que l’on compense l’absence de travail de fond des années antérieures…
La CFE-CGC n’est pas opposée à une véritable réflexion de fond à ce propos face aux menaces sur le marché de l’emploi. Elle ne peut toutefois envisager une flexibilisation erratique du temps de travail des salariés sans une contrepartie réelle des entreprises maîtresses de leur activité économique.
La CFE-CGC s’est engagée à participer à la négociation interprofessionnelle qui doit s’ouvrir au MEDEF le 17 février prochain. Elle demandera des contreparties fortes au patronat et, notamment, l’engagement dans les entreprises concernées de ne pas recourir à des contrats de travail précaires, de stopper l’externalisation et de ne procéder à aucun licenciement.
Il va de soi que de tels accords compétitivité-emploi ne pourront être mis en place qu’avec la caution de la majorité absolue des organisations syndicales consultées !
Assez d’agitation préélectorale ! Ce qui mine notre compétitivité, c’est le manque de confiance entre les acteurs de notre économie. Tel le baccalauréat, ce n’est pas en bachotant la veille de l’examen que l’on compense l’absence de travail de fond des années antérieures…
mercredi 8 février 2012
Des salariés de deux filiales de Thales manifestent devant l'Assemblée nationale
PARIS, 8 fév 2012 (AFP) Près deux cent salariés de deux filiales de Thales - Thales Avionics et Thales Services - se sont rassemblés mercredi devant l'Assemblée nationale pour protester contre un projet de délocalisation vers Singapour et contre une cession des activités de services informatiques.
lundi 6 février 2012
NAO 2012: LE COMPTE N’Y EST PAS - LA MANIERE NON PLUS !
Nouvelle déception à l’occasion de la quatrième réunion NAO 2012. La Direction, qui affirme avoir retenu certains éléments de revendication de l’intersyndicale, est revenue avec une copie encore largement insuffisante. Nouvelle proposition de la Direction :
- Mensuels I à V1 : 1,7% en AG avec 43€ de talon, 1,1% en AI
- Mensuels V2 et V3 : 1,5% en AG, 1,3% en AI
- Tous les mensuels de plus de 3 mois d’ancienneté : 13ème mois supérieur à 2200€.
- I&C : 2,8% en AI
- Mesure Égalité Professionnelle(F/H) : 0,1 % (en sus des 2,8%)
Les 2,8% proposés par la Direction incluent les mesures pour les promotions et les mobilités qui représentaient 0,3% l’an dernier.
La Direction persiste avec sa politique salariale : refus du principe d’une AG pour tous et de la réintégration de la rémunération variable dans le fixe. Seuls les I&C qui ont, selon la Direction, atteint leurs objectifs auront droit à une AI, mais sans aucun engagement sur le niveau minimum de cette augmentation.
Avec une AG pour les mensuels inférieure à l’inflation (2,5% en 2011) et aucun engagement pour les I&C, un salarié jugé en adéquation dans son poste a toutes les chances de voir son pouvoir d’achat baisser encore une fois en 2012 !
Avec un talon de 43 €, un mensuel avec un salaire de 2 000 € / mois peut perdre en pouvoir d’achat.
Ces nouvelles propositions de la Direction de TCS ne comportent :
• aucune garantie de maintien du pouvoir d’achat pour les salariés de l’entreprise, contrairement aux engagements de la Direction des Ressources Humaines du groupe,
• aucune garantie que la Direction de TCS ne procédera pas de manière unilatérale, comme en 2011, à une baisse des Rémunérations Variables, achevant de reprendre ainsi d’une main, ce qu’elle n’a pas donné de l’autre.
… Avec pour conséquence la baisse de la rémunération globale.
Les Organisations Syndicales ont fait part de manière unanime à la Direction de l’insuffisance de ces propositions. Elles ont demandé à la Direction de revoir sa position et de programmer rapidement une nouvelle réunion de négociation, ce qu’elle a accepté.
Nous rappelons les principales revendications portées par l’intersyndicale :
• une augmentation générale pour l’ensemble des salariés,
• une enveloppe globale garantissant le maintien du pouvoir d’achat ainsi qu’une véritable politique de gestion des carrières et des promotions,
• la réintégration de la part variable dans la part fixe.
La mobilisation de tous les salariés de TCS est essentielle pour peser sur la Direction.
Sur tous les sites l’intersyndicale appelle à une Assemblée Générale en vue d’une action MARDI 07 FEVRIER matin.
- Mensuels I à V1 : 1,7% en AG avec 43€ de talon, 1,1% en AI
- Mensuels V2 et V3 : 1,5% en AG, 1,3% en AI
- Tous les mensuels de plus de 3 mois d’ancienneté : 13ème mois supérieur à 2200€.
- I&C : 2,8% en AI
- Mesure Égalité Professionnelle(F/H) : 0,1 % (en sus des 2,8%)
Les 2,8% proposés par la Direction incluent les mesures pour les promotions et les mobilités qui représentaient 0,3% l’an dernier.
La Direction persiste avec sa politique salariale : refus du principe d’une AG pour tous et de la réintégration de la rémunération variable dans le fixe. Seuls les I&C qui ont, selon la Direction, atteint leurs objectifs auront droit à une AI, mais sans aucun engagement sur le niveau minimum de cette augmentation.
Avec une AG pour les mensuels inférieure à l’inflation (2,5% en 2011) et aucun engagement pour les I&C, un salarié jugé en adéquation dans son poste a toutes les chances de voir son pouvoir d’achat baisser encore une fois en 2012 !
Avec un talon de 43 €, un mensuel avec un salaire de 2 000 € / mois peut perdre en pouvoir d’achat.
Ces nouvelles propositions de la Direction de TCS ne comportent :
• aucune garantie de maintien du pouvoir d’achat pour les salariés de l’entreprise, contrairement aux engagements de la Direction des Ressources Humaines du groupe,
• aucune garantie que la Direction de TCS ne procédera pas de manière unilatérale, comme en 2011, à une baisse des Rémunérations Variables, achevant de reprendre ainsi d’une main, ce qu’elle n’a pas donné de l’autre.
… Avec pour conséquence la baisse de la rémunération globale.
Les Organisations Syndicales ont fait part de manière unanime à la Direction de l’insuffisance de ces propositions. Elles ont demandé à la Direction de revoir sa position et de programmer rapidement une nouvelle réunion de négociation, ce qu’elle a accepté.
Nous rappelons les principales revendications portées par l’intersyndicale :
• une augmentation générale pour l’ensemble des salariés,
• une enveloppe globale garantissant le maintien du pouvoir d’achat ainsi qu’une véritable politique de gestion des carrières et des promotions,
• la réintégration de la part variable dans la part fixe.
La mobilisation de tous les salariés de TCS est essentielle pour peser sur la Direction.
Sur tous les sites l’intersyndicale appelle à une Assemblée Générale en vue d’une action MARDI 07 FEVRIER matin.
dimanche 5 février 2012
METALLURGIE : INGENIEURS ET CADRES - Appointements minimaux annuels en 2012
Un accord a été conclu, le 25 janvier 2012, entre l’UIMM et les fédérations syndicales CFE-CGC, CFTC, FO et CFDT, sur les rémunérations minimales des ingénieurs et cadres de la métallurgie. L’augmentation des salaires mini garantis est de 2,3 % pour 2012. De plus, « compte tenu du haut degré d’incertitude qui caractérise le contexte économique et social, les signataires conviennent, à titre exceptionnel, de se rencontrer à nouveau au cours du mois de septembre 2012, afin d’examiner l’évolution de la situation. » Voici les différents barèmes applicables dans notre entreprise : voir le tract
vendredi 3 février 2012
La CFE-CGC à Lille le 2 février 2012 - Le procès des syndicats !
Pour promouvoir un « nouveau dialogue social », la CFE-CGC organise pendant le premier semestre 2012 un "road show" événementiel, unique en son genre et d'ampleur nationale : « Le Tour de France du nouveau dialogue ».
La Confédération ira à la rencontre des citoyen(ne)s, le 2 février à Lille…
… au cours d’une journée ponctuée de 3 temps forts :
• Des mini événements (avec comédiens) de 7h30 à 11h00 dans différents endroits à Lille, place François Mitterrand, place de la gare Lille-Flandres. La CFE-CGC ira à la rencontre des passants, pour les informer, les inciter à venir la rejoindre.
• Le Forum CFE-CGC de 16h00 à 19h15 en présence de Bernard Van Craeynest, président confédéral, entouré des responsables nationaux et régionaux : Hôtel Mercure 110 rue Jean Jaurès à Lesquin (près de Lille) Cet espace de discussion avec les élus CFE-CGC permettra d’échanger sur des thématiques sociales et sociétales, de partager des expériences…
• Le Procès des syndicats, à partir de 20h00 : une pièce de théâtre interactive durant laquelle le grand public sera invité à « juger » le syndicalisme français.
La Confédération ira à la rencontre des citoyen(ne)s, le 2 février à Lille…
… au cours d’une journée ponctuée de 3 temps forts :
• Des mini événements (avec comédiens) de 7h30 à 11h00 dans différents endroits à Lille, place François Mitterrand, place de la gare Lille-Flandres. La CFE-CGC ira à la rencontre des passants, pour les informer, les inciter à venir la rejoindre.
• Le Forum CFE-CGC de 16h00 à 19h15 en présence de Bernard Van Craeynest, président confédéral, entouré des responsables nationaux et régionaux : Hôtel Mercure 110 rue Jean Jaurès à Lesquin (près de Lille) Cet espace de discussion avec les élus CFE-CGC permettra d’échanger sur des thématiques sociales et sociétales, de partager des expériences…
• Le Procès des syndicats, à partir de 20h00 : une pièce de théâtre interactive durant laquelle le grand public sera invité à « juger » le syndicalisme français.
Les groupes NOVALIS TAITBOUT et HUMANIS s'unissent
Concrètement, pour vous, rien ne change ... En savoir plus
mercredi 1 février 2012
AGIRC - Déni de démocratie le 31 janvier !
Majoritaire par le vote des salariés, la CFE-CGC vient de voir ce vote bafoué par une collusion MEDEF-CFDT !
Grâce au MEDEF, la CFDT est placée à la tête du conseil d’administration de l’AGIRC !
Elle est mise, ainsi, en position de démonter de l’intérieur le statut de l’encadrement :
· Fusionner l’AGIRC et l’ARRCO
· Niveler par le bas le niveau des retraites des classes moyennes
· Mettre sous conditions de ressources le versement de la pension de réversion de l’AGIRC
Mais, la CFE-CGC, fondatrice du régime AGIRC en 1947, tiendra toute sa place au sein du conseil d’administration de l’AGIRC !
Nous défendrons les vraies valeurs des techniciens, agents de maitrise, ingénieurs et cadres !
La CFE-CGC continue à se battre avec force contre toutes tentatives visant à dépouiller de leurs droits les ressortissants du régime AGIRC !
Grâce au MEDEF, la CFDT est placée à la tête du conseil d’administration de l’AGIRC !
Elle est mise, ainsi, en position de démonter de l’intérieur le statut de l’encadrement :
· Fusionner l’AGIRC et l’ARRCO
· Niveler par le bas le niveau des retraites des classes moyennes
· Mettre sous conditions de ressources le versement de la pension de réversion de l’AGIRC
Mais, la CFE-CGC, fondatrice du régime AGIRC en 1947, tiendra toute sa place au sein du conseil d’administration de l’AGIRC !
Nous défendrons les vraies valeurs des techniciens, agents de maitrise, ingénieurs et cadres !
La CFE-CGC continue à se battre avec force contre toutes tentatives visant à dépouiller de leurs droits les ressortissants du régime AGIRC !
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