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mercredi 22 février 2012

LAMBERSART - AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD !

Le CSL est de plus en plus serré. C’est un signe positif, celui de notre développement. Cependant, plusieurs activités auront besoin de place supplémentaire d’ici peu, et sont coincées : impossible de pousser les cloisons sans déloger les voisins.
La direction de TCS se veut prudente sur le sujet. Elle affirme vouloir continuer à développer le CSL, mais attend de voir une charge supplémentaire pérenne avant de décider l’accroissement des surfaces. Nous le comprenons très bien.
Mais cette charge n’est-elle pas déjà visible ?
Dans quelques mois, TCS quittera Colombes pour tenter d’entrer dans le site de Cristal. Or chacun sait que malgré ce nom étincelant, cela sera douloureux. Même avec un chausse-pied, la nouvelle chaussure est trop petite pour accueillir le pied du mammouth parisien : salariés et résultats en pâtiront !
Vous l’avez compris : il faut couper et greffer ailleurs. C’est aussi l’occasion de donner un coup d’arrêt à l’hypercentralisation de l’entreprise. Moins de découpage en tranches fines des activités confiées est un souhait des salariés du CSL.
Pour accueillir certains de ces greffons, le CSL doit s’étendre, et cela devient urgent : la préparation de transferts d’activités, ça prend du temps ; le choix, la négociation et l’aménagement d’un local aussi. Six mois, ça n’est pas de trop !
C’est maintenant qu’il faut prévoir l’extension du CSL !
Les salariés s’interrogent sur la capacité du CSL à accueillir leur activité de demain. Ils attendent un signe tangible de la direction. Espérons que tout ne se fera pas dans la précipitation, par la faute d’une décision tardive.

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