La direction de TCS se veut prudente sur le
sujet. Elle affirme vouloir continuer à développer le CSL, mais attend de voir
une charge supplémentaire pérenne avant de décider l’accroissement des
surfaces. Nous le comprenons très bien.
Mais
cette charge n’est-elle pas déjà visible ?
Dans quelques mois, TCS quittera Colombes
pour tenter d’entrer dans le site de Cristal. Or chacun sait que malgré ce nom
étincelant, cela sera douloureux. Même avec un chausse-pied, la nouvelle
chaussure est trop petite pour accueillir le pied du mammouth parisien :
salariés et résultats en pâtiront !
Vous l’avez compris : il faut couper et greffer ailleurs.
C’est aussi l’occasion de donner un coup d’arrêt à l’hypercentralisation de
l’entreprise. Moins de découpage en tranches fines des activités confiées est
un souhait des salariés du CSL.
Pour accueillir certains de ces greffons, le CSL doit s’étendre, et cela devient
urgent : la préparation de transferts d’activités, ça prend du
temps ; le choix, la négociation et l’aménagement d’un local aussi. Six
mois, ça n’est pas de trop !
C’est maintenant qu’il faut prévoir l’extension du CSL !
Les salariés s’interrogent sur la capacité du
CSL à accueillir leur activité de demain. Ils
attendent un signe tangible de la direction. Espérons que tout ne se fera
pas dans la précipitation, par la faute d’une décision tardive.
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