L’intersyndicale regrette d’avoir été contrainte de prendre cette décision extrême, unique dans l’histoire de cette instance, fondée sur les motivations suivantes :
- Depuis la nomination de Luc Vigneron, cette instance n’a pu exercer sereinement et pleinement ses prérogatives. Malgré les efforts de toutes les délégations, françaises ou non, et des alertes multiples qu’elles lui ont adressées, notamment lors de la plénière du mois de mai, la direction a constamment bafoué les droits et prérogatives du CEE sur l’information et consultation des sujets transverses aux différents pays (plan de compétitivité PROBASIS, cessions d’activités, réduction de sites, services partagés, déploiement du Lean…).
- L’instrumentalisation effectuée par Luc Vigneron et son Directeur des Opérations et des Ressources (humaines) de toute réunion des instances représentatives du personnel pour tenter d’accréditer l’idée que tout va bien dans le Groupe, dialogue social compris.
- Depuis la nomination de Luc Vigneron, cette instance n’a pu exercer sereinement et pleinement ses prérogatives. Malgré les efforts de toutes les délégations, françaises ou non, et des alertes multiples qu’elles lui ont adressées, notamment lors de la plénière du mois de mai, la direction a constamment bafoué les droits et prérogatives du CEE sur l’information et consultation des sujets transverses aux différents pays (plan de compétitivité PROBASIS, cessions d’activités, réduction de sites, services partagés, déploiement du Lean…).
- L’instrumentalisation effectuée par Luc Vigneron et son Directeur des Opérations et des Ressources (humaines) de toute réunion des instances représentatives du personnel pour tenter d’accréditer l’idée que tout va bien dans le Groupe, dialogue social compris.
Les autres délégations européennes (Grande Bretagne, Allemagne, Italie, Espagne, Pays-Bas, Belgique) sont solidaires de notre position au travers d’une déclaration faite en séance dénonçant les mêmes entraves à l’exercice des prérogatives du CEE.
Nos organisations réitèrent leur appel aux décideurs politiques sur leur responsabilité quant à la nécessité d’une décision rapide permettant de rétablir la confiance et le dialogue sans lesquels le groupe THALES ne pourra affronter les enjeux importants qui l’attendent et développer ses activités et l’emploi.
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