Pourquoi fermer d’entrée de
jeu la porte au dialogue social ?
Pourquoi le patronat
reste-t’ il figé sur des positions qui étaient bloquantes en décembre ?
La CFE-CGC ne peut se
contenter d’un « dont acte » et d’un repli dogmatique. Depuis le
début des rencontres, la CFE-CGC a démontré son attitude à faire avancer
l’équilibre de cet accord vers une solution ultime et nécessaire pour améliorer
le sort des salariés en composant avec les difficultés économiques. Une réforme
majeure, efficace de l’accès à l’emploi ne peut passer que par un renforcement
réel du dialogue social.
Avons-nous d’autres choix
que celui de gagner la bataille de l’emploi par des concessions bien pensées,
par un courage partagé ?
N’avons-nous pas la
responsabilité, nous partenaires sociaux, d’aboutir à un accord novateur pour
le marché de l’emploi ?
Dans une économie atone, que
faire pour les 3 millions de chômeurs, pour les salariés à temps partiel, pour
les jeunes sans embauche, pour les seniors mal menés… ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire