Mais que va faire
Finmeccanica confronté ces derniers mois à un véritable dilemme stratégique ?
Le groupe italien est déchiré entre deux choix pratiquement incompatibles. Soit
il rééquilibre, comme il le désire, l'alliance spatiale à 50/50 avec Thales, qui
est d'ailleurs prêt à accéder à son souhait mais à condition de récupérer en
contrepartie Ansaldo STS, les activités de signalisations ferroviaires, selon
des sources concordantes. Soit le groupe italien vend cette pépite, dont il
détient 40,1 %, avec AnsaldoBreda (100 %) pour mieux se débarrasser de cette
filiale, qui plombe ses comptes depuis plusieurs mois.
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