PARIS (Reuters) - Thales et Dassault Aviation ont signé vendredi le contrat attendu de longue date de modernisation des avions de combat Mirage 2000 de l'armée indienne, une nouvelle de bon augure pour un autre appel d'offres dans lequel le Rafale est l'un des deux finalistes. Ce contrat, qui porte sur 51 avions de combat bimoteurs Mirage 2000 acquis dans les années 1980 et 1990, représente environ un milliard d'euros pour Thales, a précisé Luc Vigneron lors d'un entretien téléphonique accordé à Reuters.
"C'est une marque de confiance qui nous donne bon espoir dans la compétition suivante", a-t-il dit, faisant référence à l'appel d'offre indien pour 126 avions de combat pour lequel le Rafale de Dassault Aviation et le Typhoon du consortium européen Eurofighter ont été présélectionnés.
Thales assurera les trois quarts du contrat et Dassault Aviation le reste, qui est évalué à plus de 400 millions d'euros.
Les deux groupes moderniseront en France les deux premiers avions que l'Inde réceptionnera début 2015.
Ils superviseront la modernisation de deux autres appareils réalisée à Bangalore par l'entreprise publique indienne Hindustan Aeronautics Ltd (HAL) et dont la livraison est prévue à l'automne 2015. HAL poursuivra ensuite la modernisation des autres Mirage 2000 avec des équipements et une assistance technique française, mais adoptant un standard technique indien.
vendredi 29 juillet 2011
THALES ET DASSAULT SIGNENT LA MODERNISATION DES MIRAGE INDIENS
jeudi 28 juillet 2011
MA RETRAITE MODE D'EMPLOI
Tout savoir sur la Retraite : http://www.retraite.gouv.fr/
Age légal, pénibilité, carrières longues… en quelques clics, vous trouverez sur ce site d'information les principales modifications apportées par la loi du 10 novembre 2010 portant réforme des retraites.
Un moyen rapide et efficace de vous familiariser avec cette nouvelle loi avant de faire le point sur votre situation personnelle auprès de votre ou de vos différentes caisses.
Age légal, pénibilité, carrières longues… en quelques clics, vous trouverez sur ce site d'information les principales modifications apportées par la loi du 10 novembre 2010 portant réforme des retraites.
Un moyen rapide et efficace de vous familiariser avec cette nouvelle loi avant de faire le point sur votre situation personnelle auprès de votre ou de vos différentes caisses.
mercredi 27 juillet 2011
Les managers de plus en plus impliqués dans la communication avec leurs équipes
Selon une étude réalisée par l'Afci, l'Andrh et le cabinet Inergie sur la communication managériale, 73 % des managers estiment jouer un rôle décisif dans la communication auprès de leurs équipes.
Ce chiffre est en nette progression par rapport à l’étude réalisée en 2008 (66 %) et traduit une implication de plus en plus grande des managers dans la communication interne. Ceux-ci expriment, par ailleurs, une attente forte de conseil de la part des fonctions Communication interne et Ressources humaines.
En savoir plus
Ce chiffre est en nette progression par rapport à l’étude réalisée en 2008 (66 %) et traduit une implication de plus en plus grande des managers dans la communication interne. Ceux-ci expriment, par ailleurs, une attente forte de conseil de la part des fonctions Communication interne et Ressources humaines.
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mardi 26 juillet 2011
La stratégie du poulpe
Retraite, fiscalité des entreprises... Bernard Van Craeynest, président de la CFE-CGC, dénonce la "stratégie du poulpe" utilisée par le gouvernement pour faire passer des mesures supportées au final par les classes moyennes.
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lundi 25 juillet 2011
Prévisions à 5 ans des recrutements de cadres en France - Un marché de l’emploi cadre suspendu à l’investissement !
Pour Jacky Chatelain, Directeur Général de l’Apec « la tendance sur le marché de l’emploi cadre devrait rester à la hausse non seulement au deuxième semestre 2011 mais aussi durant les quatre prochaines années. Ainsi, près de 200 000 cadres pourraient être embauchés cette année alors que les entreprises prévoyaient d’en recruter 181 000 au maximum il y a 6 mois ». Mais pour lui, « l’investissement des entreprises, dont le rôle moteur a été mis en évidence par l’Apec, ne retrouverait pas la vigueur qu’il a connu par le passé. Ceci se traduirait par une croissance peu vigoureuse des recrutements de cadres. Viendrait s’ajouter à ce manque de dynamisme de l’investissement, un contexte économique sur lequel pèsent encore de nombreuses menaces : le PIB connaîtrait ainsi une évolution heurtée contribuant activement à la fragilité du marché de l’emploi des cadres. Au final, 2015 marquerait un pallier pour les embauches de cadres sur un marché en manque de leviers suffisamment solides. A cet horizon, les recrutements de cadres enregistreraient une baisse de 1%. »
vendredi 22 juillet 2011
RETRAITE - Le compteur s'emballe
L’allongement de la durée de cotisation pour la génération 1955 n’est pas une surprise, mais l’application stricte de la loi de réforme des retraites de 2010, qui augmente les bornes d’âge de départ à la retraite (62 et 67 ans) tout en confirmant l’augmentation de la durée d’assurance inscrite dans la loi de 2003. Celle-ci pose le principe que tout nouvel allongement de l’espérance de vie doit être réparti dans un rapport constant entre la vie professionnelle (pour deux tiers) et la retraite (pour un tiers). Conformément à ce principe, la durée d’assurance a été portée à 41 ans et 3 mois pour les générations 1953 et 1954 et sera portée prochainement à 41 ans et 6 mois pour la génération 55. Donc rien de nouveau ! Tout cela figure clairement dans la réforme des retraites de 2010. C’est bien la raison pour laquelle la CFE-CGC, consciente de l’impact de l’augmentation des annuités pour les jeunes générations a choisi, dès 2010, d’expliquer que la référence aux 62 ans est purement virtuelle pour tous ceux qui ont fait des études ou qui ont du mal à trouver un premier emploi. L’âge moyen d’entrée sur le marché du travail est aujourd’hui de 23 ans, faites le calcul ! À ce rythme, nos enfants et petits enfants travailleront jusqu’à 70 ans. Le problème des carrières longues étant traité par dérogation, il est donc grand temps de stabiliser le compteur des annuités. Si tel n’était pas le cas, le gouvernement devra traiter en urgence le problème de la prise en compte des années d’étude. Sur demande insistante de la CFE-CGC, un rapport sera remis au Parlement en septembre 2011 dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour la prise en compte des périodes de stage. C’est un début encourageant mais insuffisant. Les périodes de chômage sont indemnisées et également prises en compte pour le calcul de la retraite ainsi que les périodes de maladie et d’éducation des enfants. Au nom de quoi les années d’étude seraient-elles les seules à être écartées de la solidarité intergénérationnelle ? Le combat ne fait que commencer.
jeudi 21 juillet 2011
Enquête ESOPE 2011 sur les salaires et la rémunération
La CFE-CGC lance son enquête annuelle sur les salaires et la rémunération. Si vous souhaitez contribuer à notre étude ayant pour objet de suivre l'évolution du pouvoir d'achat du personnel de l'encadrement, c'est très simple, il vous suffit de répondre à notre questionnaire en ligne.
Pour répondre à ce questionnaire
Pour répondre à ce questionnaire
mercredi 20 juillet 2011
QUESTION OUVERTE : TELETRAVAIL OU NOMADISME (MOBILITY) ?
Le gouvernement veut « réduire le retard actuel de la France en matière de télétravail ». Le ministre de l'Economie numérique, Eric Besson, a lancé hier une étude sur le télétravail dans les grandes entreprises françaises (dont les conclusions seront publiées en fin d'année), afin de « repérer les bonnes pratiques et identifier les facteurs de succès ». Objectif du ministre : réduire les coûts de transport (et le stress des salariés), limiter la consommation d'énergie, réaliser des gains de productivité, etc. Le travail depuis le domicile peine à prendre son envol dans l'Hexagone. Or, il n'y a plus d'obstacle technique. Mais il subsiste des freins.
Des managers réticents
Selon Greenworking, le cabinet responsable de l'étude en préparation, « le manager est le premier frein au développement du télétravail ». Plus particulièrement, c'est la mentalité française qui pose problème. Alors que le télétravail repose sur la confiance accordée aux salariés et sur la bonne coordination entre les parties, de nombreux managers français craignent, avec le télétravail, de ne plus pouvoir contrôler l'activité des salariés. Les entreprises hexagonales présentent un modèle de gestion encore très hiérarchisé. Les salariés peuvent aussi être frileux au changement. Gilles Garczynski, DRH de CGG Veritas, présent hier à Bercy, soulignait « l'extrême prudence » des managers sur ce thème.
Des gains mais aussi des coûts pour l'entreprise
La Cour de cassation, dans un arrêt du 7 avril 2010, a imposé le versement d'une indemnité au salarié. L'occupation, à la demande de l'employeur, du domicile du salarié à des fins professionnelles constitue en effet « une immixtion dans la vie privée de celui-ci et n'entre pas dans l'économie générale du contrat de travail ». Ajoutée aux frais d'équipement du domicile, la facture peut s'avérer non négligeable pour l'entreprise. Une étude de Bouygues Telecom publiée en mars pointe le coût comme l'un des freins principaux au télétravail.
Le cadre juridique
Il existe encore un certain flou juridique sur le travail à domicile. Exemple : que se passe-t-il en cas d'accident du travail ? D'après les représentants des entreprises présents hier à Bercy, la situation juridique est équivalente au lieu professionnel, puisque l'on parle de temps de travail effectif. Toutefois, la jurisprudence reste limitée. Des accords dans les entreprises permettent néanmoins de lever progressivement ce type d'obstacle, en fixant des règles et en mettant en place des garde-fous.
Le nomadisme se développe plus vite
Au-delà du télétravail, qui fait l'objet d'un accord en bonne et due forme entre le salarié et l'employeur, la pratique qui se développe est surtout le « nomadisme » : les salariés effectuent des tâches professionnelles hors du lieu de travail mais sans changer de statut.
Le retard français
Le télétravail ne concerne que 9 % des salariés français, contre 18 % en moyenne en Europe et plus de 30 % dans les pays scandinaves et les Etats-Unis. La durée de travail au domicile varie de un à trois jours par semaine. Une vingtaine d'accords ont été signés depuis trois ans dans les grandes entreprises (Michelin, Renault, AXA, etc.) pour favoriser l'essor de cette pratique, qui concerne aussi bien les dirigeants que les non-cadres.
Les Echos du 20/07/11 Charles Guay
Une expérimentation de télétravail est en cours à Thales Alenia Space sur les sites de Cannes et Toulouse et semble satisfaire en grande majorité les salariés, tous volontaires. Et pourquoi pas à Thales Communications & Security ?
Des managers réticents
Selon Greenworking, le cabinet responsable de l'étude en préparation, « le manager est le premier frein au développement du télétravail ». Plus particulièrement, c'est la mentalité française qui pose problème. Alors que le télétravail repose sur la confiance accordée aux salariés et sur la bonne coordination entre les parties, de nombreux managers français craignent, avec le télétravail, de ne plus pouvoir contrôler l'activité des salariés. Les entreprises hexagonales présentent un modèle de gestion encore très hiérarchisé. Les salariés peuvent aussi être frileux au changement. Gilles Garczynski, DRH de CGG Veritas, présent hier à Bercy, soulignait « l'extrême prudence » des managers sur ce thème.
Des gains mais aussi des coûts pour l'entreprise
La Cour de cassation, dans un arrêt du 7 avril 2010, a imposé le versement d'une indemnité au salarié. L'occupation, à la demande de l'employeur, du domicile du salarié à des fins professionnelles constitue en effet « une immixtion dans la vie privée de celui-ci et n'entre pas dans l'économie générale du contrat de travail ». Ajoutée aux frais d'équipement du domicile, la facture peut s'avérer non négligeable pour l'entreprise. Une étude de Bouygues Telecom publiée en mars pointe le coût comme l'un des freins principaux au télétravail.
Le cadre juridique
Il existe encore un certain flou juridique sur le travail à domicile. Exemple : que se passe-t-il en cas d'accident du travail ? D'après les représentants des entreprises présents hier à Bercy, la situation juridique est équivalente au lieu professionnel, puisque l'on parle de temps de travail effectif. Toutefois, la jurisprudence reste limitée. Des accords dans les entreprises permettent néanmoins de lever progressivement ce type d'obstacle, en fixant des règles et en mettant en place des garde-fous.
Le nomadisme se développe plus vite
Au-delà du télétravail, qui fait l'objet d'un accord en bonne et due forme entre le salarié et l'employeur, la pratique qui se développe est surtout le « nomadisme » : les salariés effectuent des tâches professionnelles hors du lieu de travail mais sans changer de statut.
Le retard français
Le télétravail ne concerne que 9 % des salariés français, contre 18 % en moyenne en Europe et plus de 30 % dans les pays scandinaves et les Etats-Unis. La durée de travail au domicile varie de un à trois jours par semaine. Une vingtaine d'accords ont été signés depuis trois ans dans les grandes entreprises (Michelin, Renault, AXA, etc.) pour favoriser l'essor de cette pratique, qui concerne aussi bien les dirigeants que les non-cadres.
Les Echos du 20/07/11 Charles Guay
Une expérimentation de télétravail est en cours à Thales Alenia Space sur les sites de Cannes et Toulouse et semble satisfaire en grande majorité les salariés, tous volontaires. Et pourquoi pas à Thales Communications & Security ?
Forfait Jours, un dispositif qui s'est imposé en dix ans dans le paysage social
DRH, syndicats, salariés : tous ont redit ces dernières semaines, avec des nuances, leur attachement au principe du forfait jours, né avec les 35 heures.
Créé en 2000 à l'occasion du passage aux 35 heures, le forfait jours a a été très vite adopté par les entreprises et les salariés. Il concerne aujourd'hui 12 % des salariés à temps complet, selon les chiffres les plus récents du ministère du Travail. Et les débats sur une possible remise en cause du système, ces dernières semaines, ont surtout mis en évidence sa popularité dans le monde de l'entreprise.
Le 24 juin dernier, le Cercle des DRH européens, qui compte notamment parmi ses membres les responsables des ressources humaines de Renault, Vivendi, Areva ou EDF, publiait un point de vue dans « Le Monde » qui présentait le forfait jours comme « une avancée française à défendre » et une « solution moderne et équilibrée ». Cette mobilisation n'est guère surprenante. Avec le forfait jours, les DRH disposent d'un instrument souple pour gérer le temps de travail de leurs cadres, dans une logique d'autonomie, et qui écartait (jusqu'à la décision de la Cour de cassation aujourd'hui) la question des heures supplémentaires.
Mais les syndicats, eux aussi, ont fait part de leur attachement au principe du forfait jours, y compris ceux qui ont mené le combat juridique au niveau européen. « La CGC a créé le forfait jours et veut qu'il vive ! » indiquait le syndicat mi-juin, précisant que « c'est parce qu'il n'est pas encadré qu'il est menacé ». Même le syndicat des cadres CGT, le plus offensif sur la question, indique qu'il est favorable au principe, « à condition qu'il soit assorti de garde-fous, notamment un décompte des horaires ».
A l'origine des jours de RTT
Cet attachement au dispositif, aussi imparfait soit-il au niveau juridique, ne fait que traduire la position des cadres. Pour ces derniers, le forfait jours est entré dans les moeurs. « C'est un point clef du statut, voire un élément de distinction », juge Jean-Christophe Sciberras, président de l'Association nationale des DRH. Surtout, si le forfait permet de mesurer le temps de travail en jours, il en fait de même avec le temps de repos. Le dispositif est donc directement à l'origine des jours de RTT dont ont bénéficié lors du passage aux 35 heures la majorité des cadres. De quoi lui assurer une large adhésion chez ces derniers.
L. S., Les Echos
Créé en 2000 à l'occasion du passage aux 35 heures, le forfait jours a a été très vite adopté par les entreprises et les salariés. Il concerne aujourd'hui 12 % des salariés à temps complet, selon les chiffres les plus récents du ministère du Travail. Et les débats sur une possible remise en cause du système, ces dernières semaines, ont surtout mis en évidence sa popularité dans le monde de l'entreprise.
Le 24 juin dernier, le Cercle des DRH européens, qui compte notamment parmi ses membres les responsables des ressources humaines de Renault, Vivendi, Areva ou EDF, publiait un point de vue dans « Le Monde » qui présentait le forfait jours comme « une avancée française à défendre » et une « solution moderne et équilibrée ». Cette mobilisation n'est guère surprenante. Avec le forfait jours, les DRH disposent d'un instrument souple pour gérer le temps de travail de leurs cadres, dans une logique d'autonomie, et qui écartait (jusqu'à la décision de la Cour de cassation aujourd'hui) la question des heures supplémentaires.
Mais les syndicats, eux aussi, ont fait part de leur attachement au principe du forfait jours, y compris ceux qui ont mené le combat juridique au niveau européen. « La CGC a créé le forfait jours et veut qu'il vive ! » indiquait le syndicat mi-juin, précisant que « c'est parce qu'il n'est pas encadré qu'il est menacé ». Même le syndicat des cadres CGT, le plus offensif sur la question, indique qu'il est favorable au principe, « à condition qu'il soit assorti de garde-fous, notamment un décompte des horaires ».
A l'origine des jours de RTT
Cet attachement au dispositif, aussi imparfait soit-il au niveau juridique, ne fait que traduire la position des cadres. Pour ces derniers, le forfait jours est entré dans les moeurs. « C'est un point clef du statut, voire un élément de distinction », juge Jean-Christophe Sciberras, président de l'Association nationale des DRH. Surtout, si le forfait permet de mesurer le temps de travail en jours, il en fait de même avec le temps de repos. Le dispositif est donc directement à l'origine des jours de RTT dont ont bénéficié lors du passage aux 35 heures la majorité des cadres. De quoi lui assurer une large adhésion chez ces derniers.
L. S., Les Echos
mardi 19 juillet 2011
TOUT EST BIEN QUI FINIT BIEN !
Savoir perdre pour gagner… C’est ce qui a convaincu la CFE-CGC de signer le chapitre IV de l’accord du 12 juillet 2011 relatif à l’insertion des jeunes dans l’emploi, comme elle avait validé les trois premiers pans de cet accord global. Certes, la CFE-CGC regrette que ni le déclassement des jeunes diplômés à leur embauche, ni le développement « universités-entreprises », ni même sa proposition de « pré-recrutement » contre un engagement du jeune étudiant à rester dans l’entreprise, n’aient été retenus par le MEDEF.
Il n’en demeure pas moins que sont désormais acquis : l’obligation du tutorat pour tout contrat de professionnalisation, le devoir pour les branches de négocier (enfin) la valorisation de ce tutorat grâce aux fonds du FPSPP.
De même que les freins à l’embauche des jeunes sans moyens, comme leur restauration ou leur transport, seront partiellement levés par l’affectation de 40 millions provenant de l’UNEDIC….
Cette expérimentation doit enfin aider les jeunes à entrer sur le marché du travail… Les entreprises feront-elles confiance aux jeunes autrement qu’en CDD ou contrats précaires ? C’est ce que la CFE-CGC veut pouvoir constater avec l’application de cet accord.
Il n’en demeure pas moins que sont désormais acquis : l’obligation du tutorat pour tout contrat de professionnalisation, le devoir pour les branches de négocier (enfin) la valorisation de ce tutorat grâce aux fonds du FPSPP.
De même que les freins à l’embauche des jeunes sans moyens, comme leur restauration ou leur transport, seront partiellement levés par l’affectation de 40 millions provenant de l’UNEDIC….
Cette expérimentation doit enfin aider les jeunes à entrer sur le marché du travail… Les entreprises feront-elles confiance aux jeunes autrement qu’en CDD ou contrats précaires ? C’est ce que la CFE-CGC veut pouvoir constater avec l’application de cet accord.
lundi 18 juillet 2011
GROUPE NOVALIS TAITBOUT : RAPPORT D’ACTIVITE 2010 ET PERSPECTIVES 2011 - 2012
Les assemblées générales de Novalis Prévoyance, Novalis Retraite Agirc et Novalis Retraite Arrco se sont déroulées au mois de juin. C’est donc l’occasion de faire le point sur la situation du Groupe Novalis Taitbout. Le Groupe Novalis Taitbout, organisme de protection sociale à but non lucratif, figure parmi les cinq premiers acteurs de la protection sociale en France : 3ème en Retraite et 5ème en Assurance de personnes.
Avec 773,8 M€ de fonds propres et une marge de solvabilité couverte plus de 5 fois, Novalis Prévoyance offre de sérieuses garanties financières.
Au 1er janvier 2011, le Groupe Novalis Taitbout compte 2300 collaborateurs, répartis sur près de 30 sites en France et dans les Territoires d’Outremer.
A cette même date, le Groupe Novalis Taitbout est composé de :
• 4 Institutions de Retraite Complémentaire (IRC) :
- 2 IRC à vocation interprofessionnelle : NOVALIS Retraite Arrco résultant de la fusion de la CIRSIC avec NOV.RS et NOVALIS Retraite Agirc résultant de la fusion de la CIRCIA avec NOV.RC, fusions ayant pris effet au 1er janvier 2011
- 2 IRC dédiées à la protection sociale notamment des salariés expatriés : CRE (Arrco) et IRCAFEX (Agirc)
• 2 Institutions de Prévoyance (IP) :
- NOVALIS Prévoyance
- IPBP, institution de prévoyance du groupe Banque Populaire, dont l’adhésion date du 1er janvier 2010
• 1 société de courtage d’assurance et de prestation de service : TAITBOUT Pluriel
Au travers des commissions sociales de NOVALIS Prévoyance, NOVALIS Retraite Agirc et NOVALIS Retraite Arrco, le budget global pour l’action sociale a été de 40 M€.
Perspectives 2011 – 2012 :
- Le regroupement des équipes parisiennes au sein du nouveau siège social à Montreuil est en cours.
- Dès novembre 2010, les groupes APRIONIS, VAUBAN HUMANIS et NOVALIS TAITBOUT ont engagé une démarche de rapprochement visant à créer une nouvelle association sommitale unique dès janvier 2012.
- Un premier rapprochement a déjà eu lieu le 27 janvier 2011, les groupes APRIONIS et VAUBAN HUMANIS devenant le groupe HUMANIS, 4500 personnes, 3ème groupe de protection sociale en France.
- Le futur groupe issu de la fusion de NOVALIS TAITBOUT et d’HUMANIS devrait se nommer HUMANIS et compter près de 7000 collaborateurs.
Paritarisme et élections du conseil d’administration NOVALIS Retraite AGIRC :
NOVALIS TAITBOUT est un Groupe paritaire. Les conseils d’administration de NOVALIS Prévoyance, de NOVALIS Retraite Agirc et de NOVALIS Retraite Arrco sont donc composés pour moitié d’administrateurs « Adhérents » désignés par le MEDEF et pour l’autre moitié d’administrateurs « Participants » désignés par les organisations syndicales de salariés.
Dès le 5 septembre 2011, les actifs et retraités pourront voter par internet ou par courrier pour élire les administrateurs de notre nouvelle caisse Novalis Retraite Agirc, issue de la fusion de NOV.RC et de la CIRCIA. Le matériel de vote doit nous parvenir début septembre 2011.
L’enjeu de ces élections est très important du fait de la signature par la CFDT, FO et la CFTC de l’accord de mars 2011 qui contient la disparition planifiée de l’Agirc ainsi que la limitation de la revalorisation du point Agirc.
Par une participation massive et par l’élection de nombreux représentants CFE-CGC au conseil d’administration, nous nous donnerons les moyens de défendre le régime Agirc créé par la CGC en 1947.
Dès que vous recevrez votre matériel de vote, votez et faites voter CFE-CGC !
Avec 773,8 M€ de fonds propres et une marge de solvabilité couverte plus de 5 fois, Novalis Prévoyance offre de sérieuses garanties financières.
Au 1er janvier 2011, le Groupe Novalis Taitbout compte 2300 collaborateurs, répartis sur près de 30 sites en France et dans les Territoires d’Outremer.
A cette même date, le Groupe Novalis Taitbout est composé de :
• 4 Institutions de Retraite Complémentaire (IRC) :
- 2 IRC à vocation interprofessionnelle : NOVALIS Retraite Arrco résultant de la fusion de la CIRSIC avec NOV.RS et NOVALIS Retraite Agirc résultant de la fusion de la CIRCIA avec NOV.RC, fusions ayant pris effet au 1er janvier 2011
- 2 IRC dédiées à la protection sociale notamment des salariés expatriés : CRE (Arrco) et IRCAFEX (Agirc)
• 2 Institutions de Prévoyance (IP) :
- NOVALIS Prévoyance
- IPBP, institution de prévoyance du groupe Banque Populaire, dont l’adhésion date du 1er janvier 2010
• 1 société de courtage d’assurance et de prestation de service : TAITBOUT Pluriel
Au travers des commissions sociales de NOVALIS Prévoyance, NOVALIS Retraite Agirc et NOVALIS Retraite Arrco, le budget global pour l’action sociale a été de 40 M€.
Perspectives 2011 – 2012 :
- Le regroupement des équipes parisiennes au sein du nouveau siège social à Montreuil est en cours.
- Dès novembre 2010, les groupes APRIONIS, VAUBAN HUMANIS et NOVALIS TAITBOUT ont engagé une démarche de rapprochement visant à créer une nouvelle association sommitale unique dès janvier 2012.
- Un premier rapprochement a déjà eu lieu le 27 janvier 2011, les groupes APRIONIS et VAUBAN HUMANIS devenant le groupe HUMANIS, 4500 personnes, 3ème groupe de protection sociale en France.
- Le futur groupe issu de la fusion de NOVALIS TAITBOUT et d’HUMANIS devrait se nommer HUMANIS et compter près de 7000 collaborateurs.
Paritarisme et élections du conseil d’administration NOVALIS Retraite AGIRC :
NOVALIS TAITBOUT est un Groupe paritaire. Les conseils d’administration de NOVALIS Prévoyance, de NOVALIS Retraite Agirc et de NOVALIS Retraite Arrco sont donc composés pour moitié d’administrateurs « Adhérents » désignés par le MEDEF et pour l’autre moitié d’administrateurs « Participants » désignés par les organisations syndicales de salariés.
Dès le 5 septembre 2011, les actifs et retraités pourront voter par internet ou par courrier pour élire les administrateurs de notre nouvelle caisse Novalis Retraite Agirc, issue de la fusion de NOV.RC et de la CIRCIA. Le matériel de vote doit nous parvenir début septembre 2011.
L’enjeu de ces élections est très important du fait de la signature par la CFDT, FO et la CFTC de l’accord de mars 2011 qui contient la disparition planifiée de l’Agirc ainsi que la limitation de la revalorisation du point Agirc.
Par une participation massive et par l’élection de nombreux représentants CFE-CGC au conseil d’administration, nous nous donnerons les moyens de défendre le régime Agirc créé par la CGC en 1947.
Dès que vous recevrez votre matériel de vote, votez et faites voter CFE-CGC !
samedi 16 juillet 2011
L'Inde confie la modernisation de ses Mirage à Thales
New Delhi vient finalement de donner le feu vert à la modernisation de sa cinquantaine de Mirage 2000, attendue depuis des mois. Interrogé par « The Times of India », un porte-parole de l'armée de l'air indienne a confirmé l'accord du gouvernement pour la proposition française. Sauf imprévu, la signature formelle interviendra dans quelques semaines.
Pour les industriels concernés, c'est un contrat majeur, puisqu'il est estimé à 1,5 milliard d'euros. Il consiste pour Thales, qui va assurer 75 % du travail, à fournir une nouvelle avionique, des équipements de guerre électronique et un radar plus puissant. Dassault, pour les 25 % restants, sera chargé de tester et de qualifier les Mirage 2000 ainsi modernisés. Quant aux missiles, MBDA va sans doute devoir attendre encore un peu pour décrocher une commande de 500 à 900 millions d'euros (en fonction de la quantité d'armes achetées). Toujours selon « The Times of India », il faudra neuf ans pour mener à bien le travail. Deux des 51 Mirage 2000 devraient être modernisés en France, les autres en Inde avec l'aide de l'entreprise publique HAL. Les appareils sont entrés en service dans les années 1980.
Une opération contestée
Ce contrat n'a aucun rapport avec l'appel d'offres en cours à New Delhi pour l'acquisition de 126 avions de chasse de dernière génération, assure-t-on de source proche des industriels français. Cette compétition oppose en finale le Rafale de Dassault à l'Eurofighter du consortium EADS-BAE-Finmeccanica (« Les Echos » du 29 avril). Certains s'interrogent cependant sur l'utilité pour New Delhi de mener de front les deux opérations, autant pour des raisons financières qu'opérationnelles, même si les calendriers de livraison des appareils ne sont pas synchrones. L'Inde a par ailleurs signé un accord avec la Russie pour concevoir et construire en commun un avion de chasse de future génération, et poursuit également son programme de chasseur léger.
Face au Pakistan, et de plus en plus face à la Chine, qui ne cache pas sa volonté de monter en puissance militairement, New Delhi consacre des sommes très importantes à la modernisation de son armée. Les industriels occidentaux l'ont bien compris.
ALAIN RUELLO, Les Echos
Pour les industriels concernés, c'est un contrat majeur, puisqu'il est estimé à 1,5 milliard d'euros. Il consiste pour Thales, qui va assurer 75 % du travail, à fournir une nouvelle avionique, des équipements de guerre électronique et un radar plus puissant. Dassault, pour les 25 % restants, sera chargé de tester et de qualifier les Mirage 2000 ainsi modernisés. Quant aux missiles, MBDA va sans doute devoir attendre encore un peu pour décrocher une commande de 500 à 900 millions d'euros (en fonction de la quantité d'armes achetées). Toujours selon « The Times of India », il faudra neuf ans pour mener à bien le travail. Deux des 51 Mirage 2000 devraient être modernisés en France, les autres en Inde avec l'aide de l'entreprise publique HAL. Les appareils sont entrés en service dans les années 1980.
Une opération contestée
Ce contrat n'a aucun rapport avec l'appel d'offres en cours à New Delhi pour l'acquisition de 126 avions de chasse de dernière génération, assure-t-on de source proche des industriels français. Cette compétition oppose en finale le Rafale de Dassault à l'Eurofighter du consortium EADS-BAE-Finmeccanica (« Les Echos » du 29 avril). Certains s'interrogent cependant sur l'utilité pour New Delhi de mener de front les deux opérations, autant pour des raisons financières qu'opérationnelles, même si les calendriers de livraison des appareils ne sont pas synchrones. L'Inde a par ailleurs signé un accord avec la Russie pour concevoir et construire en commun un avion de chasse de future génération, et poursuit également son programme de chasseur léger.
Face au Pakistan, et de plus en plus face à la Chine, qui ne cache pas sa volonté de monter en puissance militairement, New Delhi consacre des sommes très importantes à la modernisation de son armée. Les industriels occidentaux l'ont bien compris.
ALAIN RUELLO, Les Echos
jeudi 14 juillet 2011
Thales : la modernisation des mirages 2000 indiens actée ?
(Boursier.com) -- Plusieurs sources de presse indiquent ce matin que le gouvernement indien aurait donné son feu vert à la modernisation de 51 mirages 2000 de l'armée indienne, soit un contrat de 2,4 Milliards de Dollars.
"Le secrétaire d'Etat à la Défense a approuvé la proposition présentée par les groupes de défense Dassault, Thales et MBDA pour la modernisation du Mirage 2000", rapporte l'AFP, citant une source anonyme au sein de l'armée de l'air indienne.
Ce contrat, dont la décision finale avait d'abord été annoncée pour fin 2008 avant d'être constamment repoussée, consiste notamment pour les français Dassault et Thales à fournir une nouvelle avionique, des équipements de guerre électronique et un radar plus puissant à l'appareil.
"Le secrétaire d'Etat à la Défense a approuvé la proposition présentée par les groupes de défense Dassault, Thales et MBDA pour la modernisation du Mirage 2000", rapporte l'AFP, citant une source anonyme au sein de l'armée de l'air indienne.
Ce contrat, dont la décision finale avait d'abord été annoncée pour fin 2008 avant d'être constamment repoussée, consiste notamment pour les français Dassault et Thales à fournir une nouvelle avionique, des équipements de guerre électronique et un radar plus puissant à l'appareil.
mercredi 13 juillet 2011
Un compromis à cinq nécessaire à la survie de l’APEC
Après une intersyndicale qu’elle a initiée et animée, la CFE-CGC, désireuse de maintenir les spécificités de l’APEC, a réussi à sécuriser son financement, à préserver son expertise et à développer son autonomie pour le long terme. Dans le texte proposé par le patronat et largement inspiré du projet intersyndical, nous avons vu apparaître un article prévoyant une baisse de la cotisation qui sert de principal financement aux missions de l’APEC. C’était sans compter sur la détermination de l’ensemble des organisations syndicales de salariés. Notre opposition a conduit à l’obligation d’obtenir l’avis des partenaires sociaux pour qu’une telle mesure puisse être mise en œuvre.
L’objectif de la CFE-CGC est atteint. Les cadres bénéficieront demain, comme hier, de l’aide d’une institution créée par la CFE-CGC il y a près de 50 ans. L’APEC pourra ainsi continuer à proposer ses services en vue de la sécurisation des parcours professionnels des cadres actuels comme de celles et ceux de demain.
La CFE-CGC n’a jamais oublié dans cette négociation, la défense de l’emploi des salariés de l’APEC dont l’expérience et l’expertise sont indispensables pour remplir nos missions.
L’objectif de la CFE-CGC est atteint. Les cadres bénéficieront demain, comme hier, de l’aide d’une institution créée par la CFE-CGC il y a près de 50 ans. L’APEC pourra ainsi continuer à proposer ses services en vue de la sécurisation des parcours professionnels des cadres actuels comme de celles et ceux de demain.
La CFE-CGC n’a jamais oublié dans cette négociation, la défense de l’emploi des salariés de l’APEC dont l’expérience et l’expertise sont indispensables pour remplir nos missions.
lundi 11 juillet 2011
CCE du 8 juillet - Baisse globale de 2,2% de la charge de TCF en 2011
Le niveau estimé de prise de commande 2011 est supérieur à l’objectif grâce à la prise en compte intégrale de la Malaisie.
La baisse de charge en 2011 est moindre que le MYB (Budget Pluri-Annuel) grâce aux succès d’ISAF en 2010 et de Balard mais aussi de part les écarts sur projets supérieurs à la prévision. La prévision de charge 2012 est identique au MYB, soit une prévision de baisse de charge de -9,3 %
L’export reste très incertain avec des décalages avérés mais aussi de nouvelles opportunités. Cette situation impacte fortement les activités tactiques (TAP et IND)
Dans ce contexte, poursuite d’une politique d’effectifs très ciblée :
- Priorité à la mobilité interne
- Embauche focalisée uniquement sur certains métiers techniques
- Poursuite de l’adaptation des structures suivant l’évolution du chiffre d’affaire (2011, 2012)
Activité Produit (RCP) :
Un enjeu Majeur avec Contact en 2012
D’ici là, DEPORT permet de maintenir un bon niveau d’activité en ingénierie
Baisse de l’export de TAP – Charges EWR améliorées (gain de Clovis) avec l’enjeu dimensionnant de l’offre Barrage
ANP : dépendance à des gains d’offres en cours (IFF US Tanker, radioaltimètre ANL, Mirage 2000) avec des opportunités conjoncturelles (Rafale export)
Activité Système (SYS) :
Succès de CISAF (SSC) et de Balard (RIS, SSC, SSI, SAT)
PRS : succès de l’offre Malaisie et amélioration du positionnement dans le domaine des SIC avec SIA
MNW : charges en baisse avec la baisse des développements Syracuse et Yahsat - relais partiel avec les offres export SMAP et réseau GCC
Centres de compétence :
R/D – charge soutenue à SAT. Bon niveau à HAT avec un fort niveau de dépendance de l’offre Contact
IND : poursuite de la baisse de l’activité tactique (Cholet), le reste étant globalement stable
La baisse de charge en 2011 est moindre que le MYB (Budget Pluri-Annuel) grâce aux succès d’ISAF en 2010 et de Balard mais aussi de part les écarts sur projets supérieurs à la prévision. La prévision de charge 2012 est identique au MYB, soit une prévision de baisse de charge de -9,3 %
L’export reste très incertain avec des décalages avérés mais aussi de nouvelles opportunités. Cette situation impacte fortement les activités tactiques (TAP et IND)
Dans ce contexte, poursuite d’une politique d’effectifs très ciblée :
- Priorité à la mobilité interne
- Embauche focalisée uniquement sur certains métiers techniques
- Poursuite de l’adaptation des structures suivant l’évolution du chiffre d’affaire (2011, 2012)
Activité Produit (RCP) :
Un enjeu Majeur avec Contact en 2012
D’ici là, DEPORT permet de maintenir un bon niveau d’activité en ingénierie
Baisse de l’export de TAP – Charges EWR améliorées (gain de Clovis) avec l’enjeu dimensionnant de l’offre Barrage
ANP : dépendance à des gains d’offres en cours (IFF US Tanker, radioaltimètre ANL, Mirage 2000) avec des opportunités conjoncturelles (Rafale export)
Activité Système (SYS) :
Succès de CISAF (SSC) et de Balard (RIS, SSC, SSI, SAT)
PRS : succès de l’offre Malaisie et amélioration du positionnement dans le domaine des SIC avec SIA
MNW : charges en baisse avec la baisse des développements Syracuse et Yahsat - relais partiel avec les offres export SMAP et réseau GCC
Centres de compétence :
R/D – charge soutenue à SAT. Bon niveau à HAT avec un fort niveau de dépendance de l’offre Contact
IND : poursuite de la baisse de l’activité tactique (Cholet), le reste étant globalement stable
Santé au travail - Le Sénat consacre la prise en main par les employeurs - Une occasion ratée de dialogue social
Les employeurs qui ont un lobby très efficace auprès de la majorité parlementaire, ont réussi à faire se déjuger les sénateurs qui avaient voté par deux fois la gestion réellement paritaire de la médecine du travail, en novembre et en janvier derniers.
La gestion paritaire de la santé au travail aurait pu être une occasion de dialogue social mais, manifestement c’est cela que l’on a voulu éviter avec cette réforme de la santé au travail.
Les employeurs ont réussi non seulement à conserver le pouvoir dans les conseils d’administration des services de santé au travail, mais l’ont établi dans la direction des services et des médecins par l’intermédiaire du directeur de service qui suivra le conseil à prédominance patronale.
Mieux encore, les employeurs ont réussi à inscrire dans la loi leurs indemnités de présence au conseil d’administration !
La CFE-CGC ne peut approuver ces dispositions et prépare un nouveau texte qu’elle soumettra au futur Parlement issu des scrutins 2011-2012.
La gestion paritaire de la santé au travail aurait pu être une occasion de dialogue social mais, manifestement c’est cela que l’on a voulu éviter avec cette réforme de la santé au travail.
Les employeurs ont réussi non seulement à conserver le pouvoir dans les conseils d’administration des services de santé au travail, mais l’ont établi dans la direction des services et des médecins par l’intermédiaire du directeur de service qui suivra le conseil à prédominance patronale.
Mieux encore, les employeurs ont réussi à inscrire dans la loi leurs indemnités de présence au conseil d’administration !
La CFE-CGC ne peut approuver ces dispositions et prépare un nouveau texte qu’elle soumettra au futur Parlement issu des scrutins 2011-2012.
jeudi 7 juillet 2011
Migration Nuco : la grande pagaille !
La première phase de migration des boîtes aux lettres sur la plate-forme Groupe NuCo avait déjà été une catastrophe ... la phase 2 qui a démarré depuis quelques jours est pour certains salariés encore pire !
Manque d'informations et surtout d'un vrai accompagnement des utilisateurs des systèmes d'information que nous sommes, messages perdus avec parfois des conséquences graves pour la réalisation de nos affaires, installation aléatoire des nouveaux outils (Outlook 2007, Communicator, LiveMeeting) avec également un résultat aléatoire (plus d'accès du tout à Outlook par exemple), ... Quant à nos collègues envoyés au front du 3112, ils font ce qu'ils peuvent mais ils sont débordés et dépassés par le fiasco. Un "anonyme" du 3112 a même avoué qu'il serait certainement en arrêt maladie la semaine prochaine et qu'il était sous anti-dépresseur ... Quel client de Thales aurait accepté une mise à jour de ses logiciels dans de telles conditions ? Aucun bien sûr ... Ce serait un client perdu pour toujours ... Quel manque de considération de la part de Thales pour ses clients internes ! Il faudra bien que les vrais responsables s'expliquent et se remettent en question pour que cela ne puisse plus jamais arriver ... Le moment venu, la CFE-CGC exigera en votre nom de véritables explications de la part de la direction !
Manque d'informations et surtout d'un vrai accompagnement des utilisateurs des systèmes d'information que nous sommes, messages perdus avec parfois des conséquences graves pour la réalisation de nos affaires, installation aléatoire des nouveaux outils (Outlook 2007, Communicator, LiveMeeting) avec également un résultat aléatoire (plus d'accès du tout à Outlook par exemple), ... Quant à nos collègues envoyés au front du 3112, ils font ce qu'ils peuvent mais ils sont débordés et dépassés par le fiasco. Un "anonyme" du 3112 a même avoué qu'il serait certainement en arrêt maladie la semaine prochaine et qu'il était sous anti-dépresseur ... Quel client de Thales aurait accepté une mise à jour de ses logiciels dans de telles conditions ? Aucun bien sûr ... Ce serait un client perdu pour toujours ... Quel manque de considération de la part de Thales pour ses clients internes ! Il faudra bien que les vrais responsables s'expliquent et se remettent en question pour que cela ne puisse plus jamais arriver ... Le moment venu, la CFE-CGC exigera en votre nom de véritables explications de la part de la direction !
mardi 5 juillet 2011
Près de 8% des ingénieurs et cadres de TCF ont vu leur rémunération globale baisser en 2011 !
Ce n'est pas un phénomène nouveau, mais il s'est largement amplifié en 2011.
Lors d'un pré-bilan de la politique salariale de TCF, la direction a annoncé que 296 ingénieurs et cadres de TCF sur 3778 avaient vu leur rémunération globale baisser en 2011, soit 7,8 % de l'effectif.
Ils n'étaient que 120 à être dans ce cas en 2010, soit une progression de 250 % !!!
Et combien de salariés ont eu une perte ou une stagnation de leur pouvoir d'achat ?
Là, la direction est incapable de nous sortir une statistique !
Au-delà de la faiblesse du budget attribué aux augmentations générales et individuelles, c'est la baisse de la rémunération variable, complètement manipulée par la direction, qui est la cause principale de ce bilan salarial 2011 en très net retrait.
Est-ce que la direction en a tiré des leçons pour 2012 ? Rien n'est moins sûr car, à mi-année, nous n'avons même pas les objectifs de la rémunération variable au titre de l'année 2011 !
Mais peut-être a-t-elle pris la sage décision de l'intégrer dans le salaire de base ...
Lors d'un pré-bilan de la politique salariale de TCF, la direction a annoncé que 296 ingénieurs et cadres de TCF sur 3778 avaient vu leur rémunération globale baisser en 2011, soit 7,8 % de l'effectif.
Ils n'étaient que 120 à être dans ce cas en 2010, soit une progression de 250 % !!!
Et combien de salariés ont eu une perte ou une stagnation de leur pouvoir d'achat ?
Là, la direction est incapable de nous sortir une statistique !
Au-delà de la faiblesse du budget attribué aux augmentations générales et individuelles, c'est la baisse de la rémunération variable, complètement manipulée par la direction, qui est la cause principale de ce bilan salarial 2011 en très net retrait.
Est-ce que la direction en a tiré des leçons pour 2012 ? Rien n'est moins sûr car, à mi-année, nous n'avons même pas les objectifs de la rémunération variable au titre de l'année 2011 !
Mais peut-être a-t-elle pris la sage décision de l'intégrer dans le salaire de base ...
Logement, Halte à l’impôt déguisé !
Non content de la mise en place d’un surloyer inadmissible dans les logements sociaux pour en faire sortir les classes moyennes, non content d’un prélèvement de 2,5% sur les sociétés HLM, l’Etat, après 8 réunions de « concertation », persévère dans ses hold-up réguliers sur les finances d’Action Logement (ex-1% logement).
Il est toujours très aisé d’être généreux en piochant dans la poche de son voisin.
L’Etat a du mal à gérer ses contradictions : il a du mal à maîtriser ses dépenses, il ne veut pas augmenter les impôts mais, de manière pour le moins hypocrite, il fiscalise sans le dire Action Logement. Il envisage de ponctionner 3,4 milliards d’euros sur 2012-2014 !
Tout cela se ferait au mépris du projet exposé par les partenaires sociaux et de l’accord national interprofessionnel sur l’emploi des jeunes.
Voilà, à n’en pas douter, une mesure qui réjouira les salariés qui ont déjà bien du mal à boucler leur fin de mois !
Le gouvernement nous fait penser à ces médecins qui saignaient le malade pour le guérir et qui continuent de le faire après son évanouissement pour faire sortir la « mauvaise humeur ». C’est sans aucun doute la mauvaise humeur des salariés que notre gouvernement veut voir sortir pour en arriver à proposer de telles solutions.
De l’extrême ponction sur le 1% Logement amorcée par Madame Boutin en passant par les ponctions de l'Agence nationale de l'habitat (Anah) et de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) sans aucun respect de la parole donnée par l’État par le ministre Borloo, la situation devient tendue dans le monde du logement social. Le modèle économique d’Action Logement est désormais mis en péril ! Face aux aspirations des jeunes, des salariés, des retraités à se loger décemment, la CFE-CGC dénonce une fois encore l’approche du ministère en charge du logement et les atteintes récurrentes portées aux salariés.
Non respect de la parole donnée, siphonage des collecteurs d’Action Logement, la CFE-CGC dit STOP ! Si l’Etat maintient son approche, elle envisagera, avec ses partenaires, toutes les mesures y compris juridiques à tous les niveaux possibles pour faire respecter le contrat social établi !
Il est toujours très aisé d’être généreux en piochant dans la poche de son voisin.
L’Etat a du mal à gérer ses contradictions : il a du mal à maîtriser ses dépenses, il ne veut pas augmenter les impôts mais, de manière pour le moins hypocrite, il fiscalise sans le dire Action Logement. Il envisage de ponctionner 3,4 milliards d’euros sur 2012-2014 !
Tout cela se ferait au mépris du projet exposé par les partenaires sociaux et de l’accord national interprofessionnel sur l’emploi des jeunes.
Voilà, à n’en pas douter, une mesure qui réjouira les salariés qui ont déjà bien du mal à boucler leur fin de mois !
Le gouvernement nous fait penser à ces médecins qui saignaient le malade pour le guérir et qui continuent de le faire après son évanouissement pour faire sortir la « mauvaise humeur ». C’est sans aucun doute la mauvaise humeur des salariés que notre gouvernement veut voir sortir pour en arriver à proposer de telles solutions.
De l’extrême ponction sur le 1% Logement amorcée par Madame Boutin en passant par les ponctions de l'Agence nationale de l'habitat (Anah) et de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) sans aucun respect de la parole donnée par l’État par le ministre Borloo, la situation devient tendue dans le monde du logement social. Le modèle économique d’Action Logement est désormais mis en péril ! Face aux aspirations des jeunes, des salariés, des retraités à se loger décemment, la CFE-CGC dénonce une fois encore l’approche du ministère en charge du logement et les atteintes récurrentes portées aux salariés.
Non respect de la parole donnée, siphonage des collecteurs d’Action Logement, la CFE-CGC dit STOP ! Si l’Etat maintient son approche, elle envisagera, avec ses partenaires, toutes les mesures y compris juridiques à tous les niveaux possibles pour faire respecter le contrat social établi !
vendredi 1 juillet 2011
1er juillet - Création du blog CFE-CGC de THALES COMMUNICATIONS & SECURITY
Ce 1er juillet, le blog CFE-CGC de Thales Communications (TCF) évolue et devient le blog CFE-CGC de Thales Communications & Security (TCS)
Notre ambition : vous informer de toute l'activité sociale de notre nouvelle Société.
Nous accueillons avec plaisir les internautes de Brétigny, Toulouse, Vélizy ... et d'ailleurs !
Notre ambition : vous informer de toute l'activité sociale de notre nouvelle Société.
Nous accueillons avec plaisir les internautes de Brétigny, Toulouse, Vélizy ... et d'ailleurs !
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