Les quatre satellites « tests » de validation en orbite (IOV) ont été construits par un consortium mené par EADS Astrium Allemagne et assemblés à Rome par Thales Alenia Space. Ils doivent être « les modèles » de tous les autres satellites Galileo fabriqués en Europe.
Les Européens ont voulu disposer de leur propre technologie, indépendante du système militaire américain GPS. Le programme est financé à 100 % par la Commission européenne et mis en œuvre par l’ESA. Lire l'article
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