La CFE-CGC
considère ce rapport comme une provocation, à double titre :
-
Non
les salariés français ne sont pas des privilégiés dans la crise qui touche
toute l’Europe. Les statistiques montrent que leur temps de travail effectif
est parmi les plus élevés au monde. Mais ils vivent dans un climat de défiance
alors qu’ils sont ceux qui, en Europe, s’impliquent le plus dans le travail.
-
La
Commission, dans un souverain mépris, ne communique son message qu’en
anglais : on voudrait nous dégoûter de l’Europe que l’on ne s’y prendrait
pas autrement !
La CFE-CGC
interpelle Androulia Vassiliou et Jonathan Hill, commissaires européens chargés
du multilinguisme, pour qu’ils interviennent auprès des autorités de Bruxelles…
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