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mercredi 31 juillet 2013

REFORME DES RETRAITES : LA CFE-CGC ENTENDUE PAR LE GOUVERNEMENT !

La CFE-CGC se félicite que la ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, envisage dans ses préconisations de retenir la prise en compte des années d’études post-bac pour le calcul de la retraite. Ce point est pour la CFE-CGC le préalable à toute discussion sur l’allongement de la durée de cotisations. 
C’est aujourd’hui, que la ministre doit remettre ses conclusions au Premier ministre. Selon les informations du journal « le Figaro », il apparaît que Marisol Touraine portera cette proposition qui est au cœur de celles de la CFE-CGC. Parmi les nombreuses propositions de la CFE-CGC pour pérenniser le système de retraite par répartition : la création de la cotisation sociale sur la consommation qui consisterait à augmenter les cotisations patronales pour la retraite et à baisser les cotisations patronales sur la maladie pour améliorer la compétitivité des entreprises. La CFE-CGC propose également la suppression de la cotisation salariale maladie pour améliorer le pouvoir d'achat des salariés. En contrepartie, une augmentation du taux de TVA normal et intermédiaire de 2 points rapporterait 15,5 milliards compensant intégralement la suppression de la cotisation maladie salariés et la baisse de la cotisation patronale maladie. La proposition de la CFE-CGC garantit le pouvoir d'achat des retraités. C'est donc bien une solution de financement gagnant-gagnant susceptible de répartir de manière plus juste les efforts nécessaires à la survie des régimes dans le temps. 
La CFE-CGC sera donc attentive aux conclusions du gouvernement sur la prise en compte des années d’études post-bac et aux modalités de sa mise en œuvre.   

Les années d'études pourraient être intégrées dans le calcul des retraites

La réforme des retraites pourrait introduire une meilleure prise en compte des années d'études supérieures. Selon Le Figaro, cette mesure figurerait parmi les propositions présentées par Marisol Touraine à Jean-Marc Ayrault ce 31 juillet 2013 et que la ministre des Affaires sociales et de la Santé va également exposer le 1er août 2013 à François Hollande.
Pour l'instant, on ne sait pas comment va se traduire concrètement cette prise en compte. Contacté par Toutsurlaretraite.com, le cabinet de Marisol Touraine ne s'est, pour l'instant, pas exprimé sur le sujet. Deux options sont possibles. Le projet de loi sur les retraites pourrait octroyer des trimestres de cotisation supplémentaires aux actifs ayant effectué un certain nombre d'années d'études supérieures. Ce dispositif serait sérieusement envisagé pour les apprentis et les stagiaires qui ne cotisent pas autant que les autres actifs ...

vendredi 26 juillet 2013

GENNEVILLIERS - Modification des points d’arrêt et du trajet de la navette RER - CRISTAL

Les salariés de TCS Gennevilliers ont été informés, par la lettre d’information CRISTAL du 19 juillet 2013, de la modification des points d’arrêts de la navette RER Gennevilliers – CRISTAL.
Or, cette mesure modifie non seulement les points d’arrêts mais aussi le trajet de la navette le soir qui se retrouve notoirement prolongé en termes de distance et surtout de temps de trajet.
Les organisations syndicales de Gennevilliers, à l'initiative de la CFE-CGC, interpelle la direction sur ce sujet.

Chômage : encore loin de la rémission

En dépit de signaux perceptibles de stabilité en mai, le mois de juin est encore décevant en termes d’emplois et de chômage.
À nouveau le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A est en légère hausse de 14 900, soit une progression de 0,5 % en juin mais sur un an de 11,2 %. Selon les chiffres de Pôle Emploi, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A, B et C est désormais de 4 799 700 en France métropolitaine et 5 092 700 en y incluant les DOM TOM.
La CFE-CGC espère toutefois que cette relative stabilisation, même fragile, est enfin l’amorce d’un cycle plus favorable… notamment pour le chômage des jeunes qui, depuis 2 mois, semble légèrement reculer : + 7,8 % sur un an et – 0,8 % en juin.
Cette situation n’est malheureusement pas la même pour les seniors de plus de 50 ans (+ 14,2 % sur un an).
La batterie d’outils mise en place (emplois d’avenir, contrat de génération, refonte de l’apprentissage ou formations prioritaires des demandeurs d’emploi…) arrivera-t-elle à avoir raison des plans sociaux en cascade et des restructurations anarchiques ?
La CFE-CGC est bien disposée à lutter contre un marché de l’emploi durablement morose dès lors que ses propositions sont entendues !

jeudi 25 juillet 2013

Rafale en Inde : Dassault toujours optimiste

L’avionneur Dassault continue d’oeuvrer à la conclusion de la vente de 126 Rafale à New Delhi avant la fin de l’année. Il mise aussi toujours sur 70 livraisons de Falcon cette année, malgré quelques retards sur son plan de marché au premier semestre.

Choc de simplification : les entreprises à la remorque de l’Etat ...

Sur le plan de la complexité, les entreprises n’ont rien à envier à l’Etat. Les modes de management dominants, motivés par la volonté de contrôler toujours plus étroitement les salariés, ont abouti à un maquis de procédures dont elles doivent se libérer. François Dupuy est sociologue des organisations.
Le gouvernement vient de lancer la première salve de son « choc de simplification ». L’objectif n’est pas seulement de rendre plus facile la vie des citoyens et des entreprises. Il est de réaliser des économies non négligeables. Sur ce point, les préoccupations de l’État et celles des entreprises sont les mêmes. Ces dernières s’attaquent à cette question par toutes les méthodes que le management et ses « modes » mettent à leur disposition : réductions d’effectifs, rationalisation des modalités d’achat, réorganisations à répétition,…
Ce faisant, il n’est pas exagéré de dire qu’elles « tournent autour du pot » et qu’elles seraient bien avisées de s’inspirer de la démarche des pouvoirs publics pour faire la chasse, en leur sein, à toutes les complexités inutiles qui leur génèrent autant de coûts incontrôlés – et jamais évalués – qu’aux organisations publiques.

mercredi 24 juillet 2013

Thales : objectifs 2013 maintenus après un bond de son bénéfice

Le groupe d’électronique de défense et de transport Thales a confirmé mercredi ses objectifs de croissance pour l’année 2013, après un bénéfice net en augmentation de 17,2% mais des prises de commandes en baisse de 6%.
De janvier à juin, le bénéfice net s’est établi à 190 millions d’euros, contre 162 millions un an plus tôt, sur un chiffre d’affaires de 6,4 milliards d’euros (+1%), a-t-il détaillé dans un communiqué. Les prises de commandes sont évaluées à 5,7 milliards pour la première moitié de l’année contre 6,1 milliards au premier semestre 2012 qui avait bénéficié d’importantes commandes.
Au 30 juin, le carnet de commandes consolidé atteint 28,9 milliards d’euros, «soit toujours environ deux années de chiffre d’affaires», souligne le groupe.

mardi 23 juillet 2013

Défense : Thales remporte une nouvelle commande aux Emirats Arabes Unis

La France est vraiment à nouveau en cour aux Emirats Arabes Unis (EAU). Après avoir remporté de haute lutte face à l'américain Lockheed Martin un contrat pour deux satellites d'observation de type Pléiades (Astrium et Thales Alenia Space), qui a été signé lundi, la France a gagné mardi une nouvelle belle commande aux Emirats, selon des sources concordantes. Thales a été retenu pour la fourniture de 17 radars de défense aérienne Ground master 200 (GM200). Le montant du contrat est estimé à environ 250 millions d'euros. Ce qui fait au total en deux jours un volume de contrats de l'ordre d'un 1 milliard d'euros pour la France aux Emirats.
Lire l'article

Contrat de génération chez Thales: 2.000 embauches de jeunes d’ici 2016

Le groupe de défense Thales a annoncé mardi la signature d’un contrat de génération qui prévoit l’embauche de 2.000 jeunes d’ici 2016 et des mesures favorisant le maintien dans l’emploi des seniors, l’un des premiers accords d’ampleur depuis la loi de mars créant ce dispositif.
Cet accord, que tous les grands groupes sont invités à conclure d’ici fin septembre, a été signé sous le «parrainage» du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. L’Etat qui mise notamment sur les contrats de génération pour relancer l’emploi, est le premier actionnaire de Thales (27%) ...
Outre l’embauche de 2.000 jeunes en CDI d’ici 2016 (dont au moins 30% de moins de 26 ans), l’accord prévoit notamment un maintien de la part des embauches des plus de 55 ans à 2% du total des embauches et une augmentation du taux d’emploi des plus de 57 ans pour le porter à 15% des effectifs d’ici 2016 ...

lundi 22 juillet 2013

Transition énergétique - Le combat pour l’intérêt général, l’emploi et la réindustrialisation du pays continue !

En rendant ses conclusions le 18 juillet 2013, le Conseil National du Débat sur la Transition Energétique clôture huit mois d’échanges où la CFE-CGC a pris toute sa place et été force de propositions dans un débat de qualité.
La CFE-CGC se réjouit de la place centrale donnée au débat  énergétique en lien avec les politiques d’urbanisme, de logement et de mobilité. Elle accueille avec satisfaction la reconnaissance du rôle clef des infrastructures énergétiques, de la planification de leurs investissements et de la nécessité d’un signal prix vertueux.
Pour autant, la CFE-CGC regrette que la sécurité des approvisionnements énergétiques comme le développement des filières industrielles ne soient pas davantage au cœur des priorités. De plus, l’analyse économique des différents scénarios de transition énergétique, y compris en matière macro-économique, aurait mérité d’être davantage approfondie.
La CFE-CGC réaffirme enfin son opposition à la volonté de certains acteurs d’imposer une réduction drastique de la consommation énergétique du pays sans en mesurer les impacts sociétaux ni même intégrer le progrès scientifique et technique. Elle s’oppose tout aussi fermement à toute fermeture dogmatique de réacteurs nucléaires et à des objectifs irréalistes fixés en matière d’énergies renouvelables.
La priorité de la CFE-CGC est bien de bâtir une transition énergétique qui offre de réelles perspectives aux salariés et à l’ensemble des citoyens français, et en particulier aux plus jeunes d’entre eux.
C’est pourquoi, la CFE-CGC compte bien poursuivre dans les mois qui viennent son action auprès du gouvernement et des parlementaires. Elle s’assurera que ses priorités en faveur de l’emploi et des filières industrielles comme les valeurs qu’elle défend seront pleinement inscrites au cœur de la loi.

La France décroche un contrat dans le spatial militaire à Abu Dhabi

C'est le premier grand contrat export du quin­quennat dans la défense. Il marque le retour de la France dans les pays du Golfe. Ce lundi soir, Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, accompagné de François Auque, PDG d'Astrium, filiale spatiale d'EADS, et de Jean-Loïc Galle, son homologue de Thales Alenia Space (TAS, cofiliale de Thales et de ­Finmeccanica), doivent par­ticiper à une cérémonie à Abu Dhabi pour fêter la signature d'une commande de plus de 700 millions d'euros. Le contrat porte sur la livraison à l'armée émirienne de deux ­satellites militaires d'observation de très haute résolution de type Helios et d'une station terrestre. Avec les contrats de main­tenance, le contrat approche des 800 millions d'euros.

dimanche 21 juillet 2013

LAMBERSART - Réussir les 10 ans ... et la suite !

Les 10 ans du site de Lambersart, la CFE-CGC souhaite que ce soit une vraie réussite, mais pas seulement pour les VIP ou pour la communication externe …
Découvrez dans le tract notre vision de la préparation de cet événement, sans oublier la suite …
Lire le tract

samedi 20 juillet 2013

Réforme des retraites : Ayrault donne rendez-vous fin août

Le Premier ministre recevra une nouvelle fois syndicats et patronat les 26 et 27 août avant de boucler le projet de réforme. Le gouvernement veut que la loi soit votée en octobre.
L’été est studieux pour le gouvernement et les partenaires sociaux qu’il concerte pour préparer la réforme des retraites. La ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, a terminé vendredi ses rendez-vous avec les leaders des organisations syndicales et patronales. « Mais il y aura d’autres contacts, plus informels, tout au long de l’été », souligne-t-on dans son entourage.

vendredi 19 juillet 2013

Thales : le Ministère de la Défense parraine le Contrat de génération

(Boursier.com) -- Jean-Yves le Drian -Ministre de la Défense- parrainera, le 23 juillet, la signature du Contrat de génération Thales par le Président-Directeur Général, Jean-Bernard Lévy, la direction des ressources humaines, ainsi que les représentants du personnel du groupe ThalesEntré en vigueur le 18 mars 2013, ce dispositif d'aide à l'emploi vise à encourager l'embauche des jeunes et à garantir l'emploi des seniors, tout en assurant la transmission des compétences, à travers diverses mesures. Il prévoit en contrepartie une aide financière versée par l'Etat. "Ce parrainage traduit l'engagement du Ministère de la Défense en faveur des industries de défense et de l'emploi dans ce secteur stratégique", explique le Ministère de la Défense.

La CFE-CGC refuse des mesurettes pour les jeunes

Hier la CFE-CGC est intervenue sur la question de la suppression de la taxe d’apprentissage car elle est un contre signal et un frein à l’emploi des jeunes.
Aujourd’hui, dans le cadre de la concertation sur la réforme des retraites avec la ministre des affaires sociales, la proposition de la prise en compte des années d’études semble se réduire à peau de chagrin, la ministre n’envisageant de prendre en compte que les stages.
La CFE-CGC est très très inquiète car cette absence de prise en compte des jeunes contribue à renforcer le sentiment déjà fort qu’ils ne bénéficieront pas du système par répartition.
Si la priorité, comme l’indique le gouvernement est les jeunes, c’est pourtant un nouveau contre signal que le gouvernement leur adresse en ne prenant en compte que les stages pour le calcul de leur retraite. Cela ne va concerner que très peu d’étudiants car les études universitaires ne comprennent pas ou peu de stages. Cela ne permet pas de redonner confiance dans notre système de protection sociale.
L’évolution des parcours professionnels, l’allongement du temps passé en formation supérieure et le nombre grandissant d’élèves poursuivant leurs études au-delà du baccalauréat rendent nécessaire la prise en compte de ce facteur. Sur le long terme, une année d’étude supplémentaire en France augmente la production économique de 3 à 6 % selon l’OCDE.
La CFE-CGC refuse la prise en compte uniquement des stages dans le calcul de la retraite.
La CFE-CGC demande que les années d’études post baccalauréat soient prises en compte dans le calcul des annuités retraite.

jeudi 18 juillet 2013

Apprentissage - Le gouvernement supprime 550 millions d’aides !

La CFE-CGC est déjà montée au créneau pour dénoncer la supercherie de la Grande conférence sociale qui n’a accouché d’aucun plan de relance de l’emploi.
Cette décision de suppression est incompréhensible et constitue un véritable frein à la relance de la compétitivité et de la réindustrialisation. C’est un contre-signal  par rapport aux priorités énoncées par le gouvernement : les jeunes et l’emploi.
La formation en apprentissage a su faire ses preuves tant en termes d’insertion professionnelle que de motivation des élèves,  elle doit être soutenue et accompagnée.
La CFE-CGC défend l’apprentissage et souhaite que les programmes de formation soient régulièrement réactualisés, voire rénovés, au regard des besoins du marché du travail. À ce titre, il apparaîtrait opportun de renforcer la collaboration avec les branches professionnelles, tant au niveau national que régional.
Elle demande que des stages en entreprise puissent être proposés dans la formation initiale et continue des enseignants afin que ceux-ci soient plus au fait des attentes du monde économique.
Elle s’étonne de cette politique gouvernementale évolutive et contradictoire. D’un côté on supprime une  aide à l’apprentissage, de l’autre les partenaires sociaux travaillent au renforcement de l’insertion des jeunes par l’emploi via l’utilisation des fonds du FSE au profit des jeunes ou d’une partie des fonds du Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP) en faveur des mutations économiques.
La CFE-CGC attend du gouvernement une vraie vision, une politique à long terme et un vrai plan de relance à l’emploi pour sortir de la crise que nous traversons.
Elle souligne enfin que cette politique d’économie à courte vue est contraire au grand plan européen lancé en juin dernier en faveur des jeunes !

La CFE-CGC soutient le Projet de loi sur l'économie sociale et solidaire

Après la marque France qui est déjà une belle initiative, voilà enfin des mesures en faveur de l'emploi ! En effet le Projet de loi sur l'économie sociale et solidaire qui doit passer en Conseil des ministres le 24 juillet prochain créé l'opportunité de reprise des entreprises par les salariés.
Chaque année ce sont des milliers d'entreprises qui ferment faute de repreneurs car la transmission n'a pas été anticipée et ce sont donc des milliers d'emplois qui disparaissent faute de repreneurs.
Ce projet de loi créé une obligation d'information des salariés de l'entreprise concernée. Cette obligation est assortie d'un devoir de confidentialité et ne remet pas en cause le montant de la transaction puisque c'est du gré à gré.
Pour la CFE-CGC, qui représente les agents de maîtrise, techniciens, cadres et  ingénieurs, c'est là une belle opportunité de reprendre l'entreprise pour assurer sa continuité et garantir la pérennité des emplois, voire en créer de nouveaux.
La CFE-CGC salue cette initiative du ministre de la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire.
Que ce soit sous forme de SCOP ou d'entreprise plus classique,  la CFE-CGC tient à soutenir les initiatives lancées par les salariés de l'encadrement pour assurer la survie de leur entreprise et le maintien de leurs emplois.
C'est par l'emploi que passe la sortie de crise, ce projet de loi est un début de véritable plan de relance !
La CFE-CGC demande dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle d'imaginer et de mettre en place des cursus de formation pour accompagner ces salariés dans la reprise de leurs entreprises.

vendredi 12 juillet 2013

RETRAITES : LA CFE-CGC ATTEND DES MESURES CONCRETES ET DES REPONSES A SES PROPOSITIONS

Hier après-midi, lors d’une concertation sur la réforme des retraites avec Marisol Touraine au ministère des Affaires sociales et de la Santé, Carole Couvert présidente de la CFE-CGC et Serge Lavagna, secrétaire national en charge de la protection sociale, ont porté les propositions de la CFE-CGC.
La CFE-CGC a présenté une solution innovante pour financer de façon pérenne le système de retraites par répartition : la cotisation sociale sur la consommation qui consiste à augmenter les cotisations patronales pour la retraite et à baisser les cotisations patronales sur la maladie pour améliorer la compétitivité des entreprises.
La CFE-CGC propose également de supprimer la cotisation salariale maladie pour améliorer le pouvoir d'achat des salariés.
En contrepartie, une augmentation du taux de TVA normal et intermédiaire de 2 points rapporterait 15,5 milliards compensant intégralement la suppression de la cotisation maladie salariés et la baisse de la cotisation patronale maladie.
La proposition de la CFE-CGC garantit le pouvoir d'achat des retraités. C'est donc bien une solution de financement gagnant-gagnant, alternative positive aux propositions du Rapport Moreau.
Carole Couvert et Serge Lavagna ont également insisté sur la nécessaire prise en compte des années d'études post bac dans le calcul de la retraite.
C’est un préalable à tout échange.
D’autre part, il ne sera pas suffisant de proposer uniquement la prise en compte des stages dans les cotisations.
La CFE-CGC souligne qu'une absence de reprise de ses propositions serait de nature à susciter sa participation aux manifestations de septembre.
Nous attendons que le gouvernement passe des discours aux actes. La CFE-CGC jugera début septembre des mesures à mettre en œuvre pour se faire entendre.

FIN DE LA 1ERE CAMPAGNE DE CANDIDATURE AU TELETRAVAIL : LE 15 JUILLET

Un petit rappel par rapport à la 1ère campagne de candidature au télétravail lancée par la direction le 2 juillet et qui se terminera le 15 juillet.
« Ce délai a pour objectif d’estimer le volume global des demandes relatives au quota par établissement... Ce délai  ne s’oppose pas à la réception de candidatures postérieurement à cette date. Celles-ci feront l’objet d’un examen par le responsable hiérarchique. Un entretien avec le responsable hiérarchique se tiendra dans les 15 jours suivant la réception de la demande. La réponse définitive interviendra dans les premières semaines de septembre 2013. »
La demande écrite (un mail suffit) et motivée (voir le modèle de courrier de candidature) doit être envoyée à votre Responsable Hiérarchique en mettant en copie votre Responsable des Ressources Humaines.
N’hésitez pas à consulter les différents documents mis à votre disposition sur l'intranet TCS : http://intranet.peopleonline3.corp.thales/tcs/pub/news_TCS.cfm?act=details&id=78203&intralang=fr
Ils sont plutôt bien faits.
Pour toute question complémentaire, n’hésitez pas à consulter vos élus CFE-CGC.

jeudi 11 juillet 2013

Investir pour la France : quel impact ?

Le Premier ministre a dévoilé son plan "Investir pour la France". De l'ordre de 12 milliards d'euros, il s’oriente sur quatre axes stratégiques :
            Le numérique (haut débit pour tous)
            La santé
            La transition énergétique
            Les grandes infrastructures de transports
La CFE-CGC salue ces annonces qui confirment, voire confortent, les investissements antérieurs. Elle retient aussi les investissements décidés dans les filières d'avenir et innovantes.
Elle regrette cependant l’impossibilité actuelle d’évaluer l'impact des mesures passées sur l'économie réelle.
Parce qu’il est indispensable d’évaluer avant de dépenser, la CFE-CGC demande qu'une attention particulière soit apportée à l'évaluation des effets économiques et sociaux de ces dépenses de l'État, en particulier en termes de création d'emplois.

mercredi 10 juillet 2013

Retraite - Prendre en compte les années d’études !

En préalable à toute discussion sur les retraites, la CFE-CGC demande que les années d’études post baccalauréat soient prises en compte dans le calcul des annuités retraite.
L’évolution des parcours professionnels, l’allongement du temps passé en formation supérieure et le nombre grandissant d’élèves poursuivant leurs études au-delà du baccalauréat rendent nécessaire la prise en compte de ce facteur. 72 % des jeunes d’une génération accèdent au niveau du bac et près de 8 sur 10 s’inscrivent dans l’enseignement supérieur. Il s’agit là d’un énorme avantage de productivité et d’une réelle avancée sociale. Sur le long terme, une année d’étude supplémentaire en France augmente la production économique de 3 à 6 % selon l’OCDE.
Les jeunes entrent beaucoup plus tardivement sur le marché du travail et commencent donc à cotiser plus tard. À 27 ans en moyenne, ils occupent leur premier emploi stable, réduisant d’autant leurs cotisations pour la retraite par rapport aux générations précédentes. Le rapport Moreau démontre qu’à l’âge de 30 ans, un jeune né en 1974 a cotisé dix trimestres de moins qu’une personne née en 1954.
La CFE-CGC exige que cette nouvelle donne soit intégrée dans le mode de calcul de la retraite. Il existe des dispositifs pour ceux qui s’investissent dans des études supérieures parfois longues. Seule cette prise en compte permettra de redonner des perspectives et de la confiance aux jeunes.
Pérenniser un dispositif de retraite par répartition qui repose sur le lien intergénérationnel impose de s’intéresser à toutes les générations, jeunes compris.
À la Grande conférence sociale, le président de la République s’est montré favorable à cette intégration des années d’études. La CFE-CGC attend maintenant du gouvernement qu’il passe des discours aux actes !

Loi Duflot sur le logement : ne pas se tromper de combat !

Le projet de loi pour un accès au logement et un urbanisme rénové dite « loi Duflot 2 » est examiné à l’Assemblée nationale.
Au cours de son audition du 4 juillet, la CFE-CGC a réaffirmé la priorité qu’elle donne au logement des salariés, question centrale dans un contexte de crise. Le logement, élément essentiel de la qualité de vie et du vivre ensemble, est un enjeu majeur pour la compétitivité du pays et pour l’emploi. De plus, au regard de l’impératif de l’efficacité énergétique, il est au cœur de la transition énergétique.
Résoudre la crise du logement et développer une approche systémique… telles doivent être les priorités du gouvernement.
L’inflation, la hausse des loyers mais aussi le manque de logements intermédiaires préoccupent chaque jour davantage les salariés. L’inadéquation entre l’offre et la demande est devenue un frein puissant à la mobilité voire même à la recherche d’un emploi. Elle grève d’une manière de plus en plus brutale le pouvoir d’achat des Français et pèse sur la compétitivité de nos entreprises.
Toutes les catégories de salariés sont touchées, en particulier les plus jeunes. La CFE-CGC demande des politiques publiques volontaristes, avec pour réels objectifs d’éviter au logement de devenir un obstacle durable à la mobilité professionnelle et au développement de l’emploi.
Dans son combat pour l’emploi et le pouvoir d’achat, la CFE-CGC revendique une véritable politique de soutien à l’offre qui permette de relancer la dynamique de construction de logements.
Si la loi Duflot 2 comporte des avancées intéressantes en matière d’urbanisme, la CFE-CGC la juge insuffisante. Qui peut penser qu’il suffit, pour résoudre la crise, d‘encadrer les loyers ou d’instaurer une garantie universelle des loyers qui, non financée aujourd’hui, conduira à déresponsabiliser les acteurs ?
Mieux vaut mobiliser les outils, comme Action Logement, qui participent activement à l’effort de construction et à la production de logements. Cela suppose de mettre fin à l’utilisation des ressources d’Action Logement pour financer des politiques publiques sans lien avec la production de logements.
Ces convictions, la CFE-CGC continuera de les porter au cours du débat parlementaire, dans l’intérêt des salariés qu’elle représente.

mardi 9 juillet 2013

Financement de la retraite : la cotisation sociale sur la consommation

Il est urgent de rétablir l’équilibre financier d’ici 2020 pour éviter d’atteindre un déficit de 20, 6 milliards d’euros.
La CFE-CGC propose la création d’une cotisation sociale sur la consommation. Son rendement donne la possibilité à tous les salariés de bénéficier du système de retraite par répartition de manière juste et partagée. Elle permet de réduire le déficit en opérant un transfert d’une part des cotisations salariales et patronales vers une cotisation sociale sur la consommation. Il s’agirait d’augmenter de deux points les deux taux de TVA (normale et intermédiaire) pour un gain de 15,5 milliards d’euros par an. Le produit de cette hausse devra être fléché vers le financement de notre système de retraite, une affectation que ne permet pas la TVA classique...
La cotisation sociale sur la consommation aurait l’avantage d’améliorer aussi la compétitivité de nos entreprises en baissant le coût du travail et en impactant les produits importés, tout en augmentant le salaire net des salariés. Pour la CFE-CGC, il s’agit d’une logique gagnant-gagnant entre les salariés et les entreprises au service du collectif.
Cette solution de financement durable permettrait non seulement d’écarter la désindexation mais aussi les propositions du rapport Moreau qui font supporter à la classe moyenne la totalité de l’effort avec un risque certain d’appauvrissement, notamment pour les retraités.
La CFE-CGC préconise, en parallèle, un principe de retraite à la carte combinant l’âge et de la durée de cotisation afin de permettre à chacun de partir à un âge décent.
Il est de plus fondamental de redonner des perspectives aux jeunes : la CFE-CGC exige que la réforme prenne en compte les années d’études post-bac dans le calcul de la retraite.
La CFE-CGC est très attachée au système de retraite par répartition qui doit bénéficier à tous. Elle refuse d’opposer les catégories et les régimes pour pérenniser le système. 

Qualité de vie au travail : une chance de réhumaniser l’entreprise

Le Comité directeur de la CFE-CGC a décidé à l’unanimité de signer l’accord national interprofessionnel du 19 juin 2013 « vers une politique de qualité de vie au travail et de l’égalité professionnelle ». La CFE-CGC se réjouit de voir la Qualité de vie au travail (QVT) s’inscrire enfin dans le dialogue social.
Les personnels d’encadrement, la maitrise et les techniciens sont de plus en plus sous pression avec des objectifs irréalisables tant pour eux que pour leurs équipes. Cet accord permettra, après un diagnostic préalable basé sur des indicateurs de QVT et de santé au travail, de négocier l’organisation du travail dans les branches et dans les entreprises et la conciliation nécessaire entre vie professionnelle et vie personnelle.
Cet accord donne également la possibilité de créer des espaces de discussion sur la qualité et la charge de travail pour l’ensemble des salariés, l’encadrement de proximité et intermédiaire.
Avec cet accord, les directions vont devoir s’impliquer dans l’amélioration de la qualité de vie au travail et préciser le rôle du management et les moyens donnés aux managers. Il permet également d’avoir des négociations dans les branches et les entreprises sur un droit à la déconnexion en matière de technologies de l’information et de communication.
Enfin la CFE-CGC croit à la Responsabilité sociale des entreprises (RSE) dont la qualité de vie au travail est un des éléments constitutifs. Cet accord est une chance de réhumaniser le travail !
En ces temps de crise, la qualité de vie au travail est un facteur de santé économique des entreprises et de bien-être des salariés.

Formation professionnelle : ne pas exclure l’encadrement

La CFE-CGC partage l’ambition du gouvernement de faire de la sécurisation des parcours professionnels et de la compétitivité des entreprises les deux grands enjeux de la négociation sur la formation professionnelle qui s’ouvrira à la rentrée.
Cependant, les grandes orientations annoncées nous font craindre que les salariés de l’encadrement ne soient les grands perdants de cette réforme.
La CFE-CGC défendra, comme elle l’a toujours fait, le développement d’un système de formation professionnelle accessible à tous les salariés, sans discrimination pour les salariés de l’encadrement.
Sécuriser les parcours des actifs ne doit pas se limiter à surmonter les inégalités d’accès à la formation ou à accompagner les personnes lorsqu’elles se retrouvent en situation de précarité. Au contraire, sécuriser les parcours via la formation professionnelle, c’est permettre à chacun de réaliser ses projets d’évolution professionnelle, notamment dans le cadre d’une mobilité ou d’une reconversion choisie.
Par ailleurs, alors que le document d’orientation nous invite à faire évoluer en profondeur  notre système de formation professionnelle, il apparaît peu réaliste d’aboutir à un projet de loi avant la fin de l’année 2013. Plus que jamais, compte-tenu de l’importance des enjeux, il est nécessaire de laisser aux partenaires sociaux du temps pour négocier.
Certes, la situation dramatique de l’emploi nécessite une réponse urgente. Mais notre objectif n’est pas d’avoir les chômeurs les mieux formés d’Europe ! Car ce n’est pas la formation professionnelle qui créera de l’emploi, mais bien la reprise d’une croissance économique durable.

lundi 8 juillet 2013

Trois syndicats (CFDT, CFE-CGC, CFTC) signent l'accord national interprofessionnel sur la qualité de vie au travail

Les syndicats CFDT, CFE-CGC et CFTC ont décidé de signer l'accord sur la qualité de vie au travail et l'égalité professionnelle, a-t-on appris lundi, ce qui suffit à valider ce texte qui a fait l'objet de plus de neuf mois de négociations, mais s'avère au final peu ambitieux. 
Les autres organisations syndicales représentatives (CGT, FO) ne se sont pas encore prononcées, mais les trois signataires totalisent plus de 30% des voix, seuil nécessaire pour valider un accord interprofessionnel (29,74% pour la CFDT, 10,78% pour la CFE-CGC, 10,63% pour la CFTC). La CGT et FO ne peuvent pas s'y opposer, ne représentant pas à elles deux 50% des voix. 
Les syndicats avaient engagé la négociation sur ce sujet avec le patronat (Medef, CGPME et UPA) en septembre 2012, après la première conférence sociale. Mais les discussions ont été laborieuses et la conclusion de la négociation a été plusieurs fois reportée. Le patronat avait fait savoir d'emblée qu'il refusait toute nouvelle contrainte pour les entreprises. 
Au final, l'accord, conclu pour une "durée déterminée de trois ans", contient peu de mesures concrètes et s'apparente plutôt à une charte de bonne conduite, comme l'ont souligné certains syndicats.
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dimanche 7 juillet 2013

Cinq bonnes raisons de se mettre au télétravail

62% des cadres souhaiteraient recourir au télétravail de manière régulière, selon le dernier baromètre Cadremploi. Une pratique très développée ailleurs en Europe et qui a montré ses bienfaits. 33% des Néerlandais l’utilisent, et entre 20 et 25% des Danois, des Finlandais et des Suédois. A contrarioen France, seuls 9% des cadres télétravaillent au moins une fois dans la semaine et 28% le font occasionnellement. Mais alors que 20% des cadres se disent aujourd’hui malheureux au bureau, le télétravail pourrait être une solution.
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La CFE-CGC est la première organisation chez Dassault Systèmes

La CFE-CGC conforte sa première place des organisations syndicale avec 36,94 % des voix. Elle remporte le tiers des sièges en CE et en DP. Cette confiance des électeurs vient récompenser "le travail d’une équipe soudée et ouverte".

samedi 6 juillet 2013

Bref, je me suis syndiqué !

Un jeune cadre tourmenté par son travail va à la rencontre de son entourage. En proie à de nombreuses interrogations et frustrations, il expose ses craintes et appréhensions à des amis, collègues, qui, un à un, lui répondent : « Mais, t'es pas syndiqué ? ». 
Obnubiler par l'image ringarde que renvoie les syndicats, notre personnage réalise que ses amis sont épanouis dans leur travail mais également dans leur vie personnelle. Il commence à porter un regard tout à fait différent sur le syndicalisme et finit par rejoindre la CFE-CGC.
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vendredi 5 juillet 2013

Thales renforce sa position de leader sur le marché français de la gestion des identités

Dans une interview accordée à La Tribune, le directeur général adjoint de Thales en charge de l'activité Système d'information et de communication sécurisés, Marc Darmon, nous explique qu'il a gagné un contrat important dans les systèmes biométriques civils en France face à son rival Morpho (groupe Safran). Le groupe d'électronique a remporté les quatre derniers appels d'offre en France dans ce domaine. Lire l'article

Concertation sur les retraites: les partenaires sociaux restent sur leur faim

La réforme des retraites entre dans le vif du sujet. Le gouvernement a lancé ce jeudi 4 juillet le coup d'envoi de la concertation sur cette réforme qu'il entend boucler avant la fin de l'année, en recevant une par une les organisations syndicales et patronales. Entouré de Marisol Touraine pour les Affaires sociales, Michel Sapin pour le Travail, Marylise Lebranchu pour la Fonction publique, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a débuté ses auditions marathon par la délégation du syndicat des cadres CFE-CGC, menée par sa nouvelle secrétaire générale Carole Couvert.
"Nous avons rappelé que pour nous, il était important que l'encadrement, les classes moyennes soient entendues, c'est ce qui fera que nous n'irons pas dans la rue à la rentrée", a déclaré à l'issue de cette rencontre Carole Couvert. "En revanche, si aucune des propositions (de la CFE-CGC) n'est reprise, là nous aurons des débats en interne", mais "ce n'est pas la culture de la CFE-CGC de manifester ou de menacer", a-t-elle poursuivi.
Le gouvernement part "certes du rapport Moreau mais en précisant bien que c'était une boîte à outils, qu'il allait piocher dedans mais qu'il allait aussi rajouter des choses", a souligné la présidente du syndicat des cadres. La CFE-CGC a notamment plaidé pour la prise en compte des années d'études post-bac dans le calcul de la retraite afin de "redonner des perspectives aux jeunes". Elle "refuse la désindexation des pensions".

mercredi 3 juillet 2013

QUALITE DE VIE AU TRAVAIL - REPRISE DE LA NEGOCIATION GROUPE

C’est le thème de la négociation qui reprend ce 4 juillet, après plusieurs mois d’interruption, et qui doit permettre de traiter des questions fondamentales qui nous concernent tous : conditions de travail, conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle, expression sur notre lieu de travail, organisation.
Pour qu’elle soit utile, il est impératif que cette négociation prenne en compte les enseignements de l’accord précédent, et qu’elle apporte des réponses réelles aux problèmes constatés : augmentation des risques psychosociaux (stress, souffrance, mal-être, harcèlement,…) perte de motivation, perte des repères, qualité du travail, …

LAMBERSART - Micro-zoning du bâtiment B : INSUFFISANT !

Entre le CHSCT du 5 juin et celui prévu le 4 juillet, la direction a revu le micro-zoning du bâtiment B. Changement de méthode : la direction a enfin écouté les salariés concernés de FOD et FDL en organisant des réunions avec eux. Mais les a-t-elle totalement entendus ?
La CFE-CGC a noté certaines améliorations, mais il reste encore des points bloquants.
Vous trouverez ci-joint notre analyse, ainsi que nos propositions : lire le tract

mardi 2 juillet 2013

Plan Epargne Groupe (PEG) : déblocage anticipé

Afin de redynamiser la consommation des ménages actuellement atone pour cause de crise économique le gouvernement a décidé la possibilité de déblocage exceptionnel de l’intéressement et de la participationCette mesure s’applique depuis le 1er juillet et jusqu’au 31 décembre 2013 sur demande du salarié. 

REMUNERATION VARIABLE : L'ARNAQUE !

Les fiches de Rémunération Variable (RV) avec les objectifs 2013 sont en cours de distribution (fin juin, c’est bien tard !).
Les salariés concernés constateront une nouvelle évolution des règles de calcul, concoctée par la Direction du Groupe.
Vos élus CFE-CGC ont analysé la « version 2013 ». Notre conclusion : la Direction a programmé une nouvelle baisse de la rémunération variable. Et avec les impacts sur la participation et l’intéressement, ce sera la double peine !

Réforme des retraites, round 1: les "lignes rouges"

Après l'échauffement de la Conférence sociale, l'heure est venue pour le gouvernement Ayrault de rentrer dans le vif du sujet des retraites. Au menu: une vaste concertation avec les syndicats et le patronat tout l'été sous forme de réunions bilatérales régulières. Premier round ce jeudi, à Matignon: les "lignes rouges" à ne pas dépasser...
45 minutes. Pas une de plus. C'est le timing serré accordé par Matignon a chacune des organisations syndicales et patronales qui défileront dans le bureau de Jean-Marc Ayrault ce jeudi 4 juillet. La CFE-CGC ouvrira le bal jeudi dès 09H00 puis les rencontres se succèderont toute la journée (CGPME, CGT, FO, CFTC, CFDT, Medef, UPA).
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